J'inaugure une nouvelle rubrique: "mes fantasmes".

De temps en temps, je vous décrirais mes envies, mes fantasmes ... du moins celles et ceux que je n'ai pas (encore) assouvies ou réalisés. 

Certains sont réalisables. Il suffira qu'une opportunité se présente ou que je me décide à passer à l'acte. Après cela, ça ne sera plus des fantasmes.

D'autres sont seulement des délires impossible à réaliser. 

Voici donc mon premier fantasme: me faire baiser en levrette.

 (J'ai choisi des photos de sodomie hétéro que je trouve plus excitantes que les photos de sodomie homo)

J'ai toujours aimé regarder des vidéos ou des photos de sodomie et particulièrement celles qui se font de cette manière, en levrette. Dans cette position, il y a plus qu'une simple sodomie. Même si elle est consentie, et même voulue par la femme, la levrette comporte un côté domination du mâle sur la femelle, bien plus qu'une sodomie en face à face. Dans une levrette, l'homme prend la femme, il la possède.

Au début, quand j'ai commencé à visionner ces vidéos, je m'identifiais au type que je regardais sodomiser une femme. Puis, insensiblement, j'en suis venu à essayer d'imaginer ce que celle-ci éprouvait, ce que ça pouvait bien lui faire d'avoir la queue d'un mâle dans son cul.

Et ce que j'imaginais a fini par me faire envie.

Alors, j'ai commencé à m'identifier plus souvent à la femme qui se fait pénétrer plutôt qu'au type qui la baise. Et je trouve ça formidablement excitant.

AVOIR LE SEXE D'UN MÂLE EN SOI !!!

Maintenant, quand je regarde ce genre de vidéo, ce sont ces filles que j'envie. J'aimerais être à leur place et me faire prendre comme ça, par derrière, debout, à genoux ou à quatre pattes. 

Je n'ai même plus besoin de regarder ce genre de vidéo, pour me faire mon film tout seul. En général, je m'imagine à quatre pattes sur un lit mais de préférence par terre, en extérieur, au soleil, sur une pelouse, ou le torse appuyé sur un transat, à poil ou seulement "vêtu" d'un porte-jarretelles avec des bas.

Pourquoi j'aimerais me faire prendre dans cette position plutôt que dans une autre ? Comme je l'ai dit plus haut, c'est sans doute parce que, pour moi, la sodomie dans cette position est plus qu'un simple rapport sexuel. Déjà, m'offrir à un mâle dans cette position, d'une certaine manière, ce serait me considérer comme une femelle ... comme Sa femelle. Ce serait accepter, et même vouloir me soumettre à lui et me donner à lui. Soumis au mâle et possédé par le mâle !

Donc, un mec très très bien monté (tant qu'à fantasmer, autant que ce soit avec une énorme queue), s'approche de moi, s'humecte le pouce et me l'enfonce dans le cul tandis qu'il se masturbe de l'autre main. Puis il s'agenouille entre mes jambes, plaque son gland contre mon anus, force lentement le passage de son membre dans mon rectum, me l'enfonce aussi loin que possible dans le ventre, jusqu'à me bousculer les entrailles, puis, m'empoignant les hanches de ses deux mains, il se met à aller et venir en moi, lentement, longuement, profondément. 

Il y a une variante dans laquelle je me fais enculer debout, jambes écartées, accoudé à une table. Le mec vient s'installer entre mes jambes, m'introduit sa queue, m'empoigne la taille et me tringle comme ça.  

Bien sûr, dans mon fantasme, le mec me baise parce que je l'excite et qu'il a envie d'entrer dans mon cul. Imaginer qu'un mec prenne du plaisir à être dans moi, qu'il aime avoir sa queue au chaud dans mon fourreau humide, que son excitation augmente à la vue de son membre qui entre et sort de ma caverne, qu'il ait envie de déverser son sperme en moi, tout cela accentue mon envie au-dela du seul désir anal. 

Dans le film que je me fais, son engin gonfle, raidit, durcit peu à peu en moi par l'effet mécanique de son va-et-vient et par le spectacle de sa pénétration dans ma croupe. Ce n'est plus un sexe en érection, c'est un gourdin qu'il plante en moi. Je visualise son gland, turgescent, qui me fouille le rectum, va et vient dans ma chair et attise son excitation.

Parfois, au bord de l'éjaculation, il retire presque entièrement son membre de mon cul, ne laissant que son gland palpitant juste à l'entrée de mon anus. Il retient son jaillissement, puis, temporairement calmé, reprend un peu plus vigoureusement son va-et-vient en moi. 

Je pense à ce sperme qui bouillonne dans ses couilles et ne demande qu'à jaillir. Parfois, il plaque son ventre contre mes fesses, enfonce son dard aussi loin qu'il peut en moi et s'immobilise. Bien que mon sphincter se soit détendu et épanoui sous l'effet du plaisir, je le serre par à-coups, aussi fort que je peux autour de la base de sa verge. Il le sent et me répond en gonflant encore un peu plus son sexe. 

Au bout d'un moment, il se penche un peu plus sur moi, saisit ma main et la guide sous mon ventre, jusqu'à son entrejambes. Je caresse ses bourses, puis je palpe sa verge à l'entrée de mon anus. La sentir ainsi, du bout des doigts, coulisser en moi, finit de m'exciter. Enfin, j'enserre ses testicules de l'anneau de mon index et de mon pouce, et j'accompagne ainsi son mouvement de va-et-vient.

Rapidement, son souffle s'accélère, il se plaque contre mes fesses, pousse sa queue tout au fond de moi, et je perçois les soubresauts de plus en plus violents de son membre pendant qu'il déverse sa semence en moi. Son orgasme paraît ne pas devoir cesser. J'imagine l'énorme quantité de sperme qui se répand dans mon ventre. Il reste ainsi, collé à moi, un long moment, tandis que la fureur de ses spasmes s'apaise peu à peu.

Enfin, il extrait de moi son organe, moins raide, mais encore en semi-érection, et s'effondre dans un râle à côté de moi. Je m'allonge sur le ventre et je sens son sperme brûlant s'écouler lentement de mon anus et souiller mon périnée et mes testicules. Je passe la main sous mon ventre, recueille tout ce que je peux de cette crème et me lèche avidement les doigts.

Pas encore rassasié, je pose ma tête sur son ventre, je prends sa queue dans ma bouche, de la main, je presse sa verge pour vider son urètre du sperme qui y reste, et je le déguste.

Depuis que je sais que des visiteurs de ce blog se masturbent en regardant mes photos et mes vidéos, et aimeraient bien me baiser, ce fantasme prend une saveur toute particulière et m'excite de plus en plus.

Photos: tous droits réservés.

Un de mes plus gros fantasmes: le dogging.

Il y a un peu plus d'un an, j'ai déjà consacré au "dogging" un long article illustré de plusieurs vidéos (plus loin, vous trouverez une photo qui sert de lien vers ce premier article). Depuis, je n'ai pas cessé de chercher et de visionner d'autres vidéos qui se revendiquent de cette pratique. Je dois dire que je suis souvent déçu. Il s'agit parfois de vidéos de "simples" gangbangs se déroulant dans un lieu clos (club, cinéma, villa, jardin privé ...), ou de vidéos de véritable dogging dans lesquels les relations sexuelles entre la femme et les hommes qui la baisent ne sont pas complètes. J'entends par là que les hommes utilisent une capote ou qu'ils se finissent en se masturbant et en jouissant hors du corps de la femme. Pour moi, le dogging devrait toujours aboutir à ce que celle (ou celui) qui se fait baiser soit vraiment inséminé(e) par les inconnus.

Et puis, j'ai récemment découvert la vidéo qui suit, dans laquelle il y a tout ce que j'aime et dont je fantasme. Certes, il s'agit d'une hardeuse allemande, Ronja Fox, mais pour moi, ce qu'elle fait est vraiment du dogging, et c'est à cela que je rêve.

Apparemment, sa séance de dogging se passe dans un endroit très fréquenté, au bord d'un lac, lieu public ou, tout au moins, réservé aux naturistes: en chemin, elle croise des hommes à poil et des types nus sont déjà installés dans la clairière où elle choisit de se faire baiser.

Il est bien possible aussi qu'il ne s'agisse pas d'un espace seulement naturiste, mais que ce soit aussi un lieu dédié au sexe comme il en existe, où non seulement on peut faire des rencontres, mais où on peut aussi "consommer" sur place. Un endroit comme celui-ci, ça m'irait très bien: ce qui compte, c'est qu'il y ait des hommes, beaucoup d'hommes, venus là spécialement pour participer à ce genre de partie de cul, ou seulement présents par hasard, mais prêts à sauter sur une occasion qui se présenterait à eux. Des hommes, mais aussi des femmes ... non pas pour participer, mais simplement pour regarder.

Justement, autre aspect fondamental à mes yeux: cette salope se fait baiser en public. Autour d'elle et des types qui la baisent, on voit d'autres personnes, dont certaines qui sont habillées, et qui assistent sans doute par hasard à cette partie de cul.

Ce qui est important, c'est qu'elle se fait passer dessus sous les yeux du public. L'image des ces types qui se pressent autour d'elle comme des chiens autour d'une femelle en chaleurs, leur bite en érection à la main, qui se bousculent presque pour se faire tailler une pipe ou pour la baiser au milieu d'un cercle de spectateurs, dont certains sont à poil et la queue en bannière, ça me … waouhhhhhh !

Comme des animaux, ça ne les gêne pas d'être à six ou sept à tourner autour de la même femelle pour s'accoupler avec elle. La morale n'a pas sa place ici. Seule la pulsion sexuelle a de l'importance.

Il est possible, sinon probable, que certains de ceux qui la baisent ou qu'elle suce, ne soient pas vraiment des rencontres de hasard: anciennes connaissances ou types recrutés pour l'occasion. Mais, avec leurs physiques ordinaires de "monsieur tout le monde", ce ne sont sans doute pas des acteurs porno professionnels. Toutefois, j'ai quand même bien l'impression que certains sont là vraiment par hasard et participent spontanément à la fête sans y avoir été spécialement invités. En effet, à quatre pattes ou sur le dos, les cuisses largement ouvertes, elle s'offre à tout le monde sans restriction. Elle est en "libre-service", et quiconque a envie de se soulager peut venir introduire sa queue en elle et se vider les couilles. Elle accueille tout le monde, et elle ne cherche même pas à savoir qui vient s'accoupler avec elle quand elle est à quatre pattes, en train de sucer des queues.

Et le top du top, c'est qu'elle ne fait pas semblant: ni capote, ni coïtus interruptus, les types jouissent et éjaculent vraiment dans sa chatte et dans sa bouche, les uns après les autres. Aucun trucage ! Alors ça, pour moi, c'est le top ! Elle se fait littéralement remplir de sperme, et entre deux coups de bites, sa chatte déborde littéralement de semence.

Autre chose qui me plaît: les types ne cherchent absolument pas à la faire jouir ou à simplement lui donner du plaisir: ils ne sont là que pour leur propre jouissance et ils la prennent uniquement pour tirer un coup vite fait, bien fait, et se vider les couilles. J'adore ! Cela dit, on sent bien qu'elle-même prend beaucoup de plaisir à se faire passer dessus comme ça, et en particulier à sucer ces queues.

En tout, au cours de cette séance, elle éponge 12 types ! 12 types se vident les couilles, la plupart en la baisant, certains en se faisant sucer (le n° 9, qu'elle suce et qu'elle branle, allongée sur le dos, lui jute sur la figure et dans la bouche), et deux en se masturbant et en éjaculant sur sa chatte (les n° 5 et 6). Chapeau, Madame ! Je t'admire, je t'envie et j'aimerais être à ta place.

Oui, parce que c'est cela, mon fantasme, faire comme elle, me rendre dans un lieu public, en extérieur, et, sous le regard de spectateurs, me livrer à tous les inconnus qui en auraient envie, pour qu'ils usent de moi à leur convenance, mais surtout pour qu'ils me baisent le cul ou la bouche.

A quatre pattes par terre, j'ai envie de sentir des mains sur moi, des bouches, des sexes, j'ai envie qu'on me présente des bites en érection à sucer, avec leur gland décalotté et gorgé de sang. J'ai envie de sentir qu'un inconnu s'installe derrière moi, entre mes mollets, qu'il présente sa queue à l'entrée de mon anus et que, ses deux mains agrippées à mes hanches, il me pénètre et se donne du plaisir en moi, même rapidement. J'ai envie de sentir ces hommes éjaculer en moi, dans mon cul, dans ma gorge avant de laisser la place au suivant. J'ai envie qu'ils se succèdent et me remplissent de leur semence. J'ai envie de sentir le mélange de leurs crèmes, tièdes et visqueuses, s'écouler sur mon périnée et sur mon sexe à chaque nouvel accouplement.

Si vous-mêmes savez où trouver des vidéos de cet accabit, merci de me l'indiquer à l'adresse-mail, tout en bas de cette page.

Vous pourrez lire ou relire le précédent article sur le dogging en cliquant sur cette photo:

Ah, la Bre tagne, ses dolmens, ses menhirs ! Je vous ai dit combien j'aime les vieilles pierres ? 

Ah oui, c'est vrai, c'était ici (cliquer sur cette photo):

Ça doit être pour ça que la Bre tagne me plaît tellement: il y a des dolmens et des menhirs à chaque coin de rue … ou presque … 

... surtout des menhirs …

... enfin, c'est surtout des menhirs que je remarque …

... pas tous les menhirs, mais certains menhirs …

Il m'arrive même de tomber en arrêt devant ces énormes pierres dressées dans la campagne bretonne (tout comme je me surprends parfois à rêvasser devant des cervelas ou des saucisses à l'étal d'un charcutier, ou devant les courgettes et les aubergines d'un rayon légumes … )

Je me demande bien pourquoi …

Non, je déconne, si je remarque surtout certains menhirs, c'est à cause de leur forme. Pour les archéologues il s'agit de symboles phalliques (en Orient, on parle de lingams). Je ne sais pas si les hommes préhistoriques qui les ont dressés les considéraient comme des symboles phalliques, c'est-à-dire comme des phallus énormes, voire gigantesques, mais il est certain que jadis, et il n'y a encore pas si longtemps, des rites de fécondité se pratiquaient encore autour, contre ou sur ces mégalithes. 

Par exemple, c'est le cas d'un petit menhir près de la chapelle Saint Sam son en Pleu meur Bodou, sur lequel les femmes en mal d'enfant venaient se frotter le ventre; même chose pour l'énorme menhir de Keramp eulven en Ber rien, ou pour celui proche de la chapelle St Cado à Ploe mel et pour celui de Men toul à Moë lan sur Mer; sur le menhir de Ker loas en Plouar zel, hommes et femmes se frottaient le bas ventre après s'être dévêtus. 

On pourrait égrener comme cela la longue liste des menhirs objets de rites de fertilité. Il se murmure aussi que, sous prétexte de recherche de fécondité, la fréquentation de ces menhirs donnait parfois lieu à des scènes de débauche sexuelle. Au point que l'Eglise devait parfois y mettre bon ordre et affublait d'une croix certaines de ces pierres dressées pour refroidir les ardeurs des … hardeurs de l'époque.

Ça prouve bien que nos ancêtres prenaient eux aussi ces pierres dressées pour d'énormes sexes ! Ma propre vision n'a donc rien de nouveau ni d'original, si ce n'est que je ne parlerais pas de symboles phalliques, mais plutôt d'olisbos, de dildos, de godemichets géants sur lesquels je fantasme de m'asseoir, de m'empaler … et pas pour la fécondité … pour le plaisir !

D'autant plus que, pour les avoir expérimentées à plusieurs reprises, je connais très bien les délicieuses sensations que procure la rugosité du granit !

Dans le même ordre d'idées, il y a aussi des roches naturelles aux noms si évocateurs de "pierre branlante" ou de "roche branlante". Mais, allez savoir pourquoi, elles me fascinent moins que les menhirs …

Alors, je vous propose de jeter un coup d'œil au petit montage évocateur qui suit, à base de photos anciennes.