Pourquoi elles me fascinent, ces filles avec un vélo ? Parce que j'aimerais avoir la vie d'une selle, toujours entre ces jolies cuisses et sous ces belles fesses ?
Sans doute.
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Le blog de Marin Cathare
Pourquoi elles me fascinent, ces filles avec un vélo ? Parce que j'aimerais avoir la vie d'une selle, toujours entre ces jolies cuisses et sous ces belles fesses ?
Sans doute.
Olivier, je suis amoureux de sa queue, de sa grosse queue, de sa belle queue !
Quand je la contemple, sa grosse queue, sa belle queue qui me donne une furieuse envie de me faire baiser, je voudrais être la femelle d'Olivier.
Il le sait, Olivier, je le lui ai dit.
Alors, quand il m'écrit ce qui suit sur la messagerie d'un site que nous fréquentons tous les deux, ça me rend folle:
« Si tu savais comme j'ai toujours envie de ton divin cul qui me fait bander comme un âne.
Toujours cette envie d'y glisser mon visage pour lécher ta
splendide chatte et connaître son goût.
M'introduire en elle de toute ma longueur, te faire l'amour en
changeant de rythme jusqu'à lâcher toute cette essence de vie qui est dans mes couilles pour te féconder comme tu le mérites. »
Les photos qui suivent me donnent envie de me glisser sous lui, sur le dos, en face-sitting, de lui embrasser, de lui lécher ses belles fesses, avant de faire la même chose à ses couilles, pleines de sa précieuse semence, puis de sucer sa bite jusqu'à ce qu'il jouisse au fond de ma gorge !
Vous avez remarqué ? J'aime porter des mini shorts très moulants.
Je les taille soit dans des jeans de femme, soit dans mes vieux jeans. J'aime qu'ils soient très échancrés, et parfois même, très très échancrés, au point que j'aie les fesses à l'air.
La couture bien rentrée dans la raie et plaquée contre ma rondelle, j'aime alors me tripoter les fesses.
Pour profiter pleinement de cette vidéo, il faut la regarder en mode "plein écran".
Au cours d'un voyage loin de chez moi, mes pas m'ont conduit en bordure d'une autoroute.
Une fois encore, j'avais sorti ma queue par ma braguette, et tout en me baladant, je me tripotais. Il faut dire que, sous mes vêtements masculins, j'avais passé des dessous féminins, et que j'étais parti en vadrouille avec une vague idée derrière la tête. Rien de précis, comme une envie qui me tarabustait sous la ceinture ...
Quand je suis tombé sur cette bouteille Thermos au supermarché, avec cette forme de bouchon, avec ce calibre, avec cette matière, je n'ai pas hésité une seule seconde: « Toi, tu es pour mon cul ! »
Je n'ai pas été déçu. Sentir ce gros bouchon m'écarter doucement le sphincter et s'enfoncer en moi en me bousculant les entrailles, sentir ce métal lisse coulisser dans ma rondelle, le sentir, au bout d'un moment, me renvoyer la chaleur de mon cul ... un vrai régal !