Ceci est ma première expérience de "vraie" exhibition. 

J'ai décidé de la faire sur un pont d'autoroute, au-dessus du trafic. L'idée me trottait dans la tête depuis un moment (et pas que dans la tête …). J'ai opté pour un pont sur un chemin d'exploitation agricole, au milieu des champs. C'est moins fréquenté qu'une route ouverte à la circulation des voitures et c'est donc à la fois plus tranquille et plus discret. J'y suis allé au petit jour, juste avant que le soleil se lève. C'était un chaud matin d'été, jour de départ en vacances et je portais, en tout et pour tout, un porte-jarretelles et des bas. 

La brise tiède sur mon corps, ces voitures qui passaient sous moi … quel bonheur! Partagé entre l'excitation et la peur de me faire surprendre, j'étais submergé par l'adrénaline. 

Sur la première partie de cette vidéo, ce sont les prises de vue originales, non "travaillées". Même si, le jour se levant, on voit de mieux en mieux, c'est très sombre: contrairement à l'œil humain qui s'adapte en partie à une faible luminosité, ma caméra n'a pas de vision nocturne. Sur la deuxième partie, ce sont les mêmes prises de vue, mais j'en ai amélioré la luminosité. La difficulté est de trouver le bon compromis entre la luminosité et le contraste, mais on est plus proche de ce que distingue l'œil humain.

Les automobilistes m'ont-ils vu? Pas tous, c'est sûr, mais quelques-uns, oui. Je ne suis pas resté longtemps, de peur de voir arriver un cultivateur se rendant dans ses champs. Ils se lèvent tôt, ces bougres!

Mon seul regret, c'est de ne pas avoir eu un cameraman avec moi. Régler la caméra, cadrer, surveiller les alentours tout en restant prêt à me rhabiller et à déguerpir à la moindre alerte, c'est beaucoup pour un seul homme.

 

Je ne sais pas si ça vous fait pareil, mais l'eau a un fort pouvoir érotissant sur moi. 

Et encore mieux, la mousse ... Dés que je m'étale du savon liquide sur le corps, je commence à bander. Et quand je le fais mousser, ça s'accentue.

J'ai fait cette vidéo un jour d'été, sous la pluie. J'ai commencé en mouillant des strings volés à Marie-Claire et à Sylviane. Puis je me suis enduit de savon, et là ... là ... LÀ !!!

Puis, de fil en aiguille, mes doigts se sont un peu égarés. Et la suite relève plus du plaisir anal que de celui de ma queue. Mais, ça, vous le verrez dans le prochain article.

J'adore mon gros godemiché noir. La plupart du temps, je m'empale dessus après avoir collé sa ventouse sur une surface lisse. Mais j'avais très envie de me le prendre en levrette au jardin, comme si un mec me baisait au milieu de la pelouse. Mais là, pas de surface lisse où le coller. 

Alors j'ai bricolé un support avec deux bouts de bois et une tige métallique. Je l'ai immédiatement testé, puis hop, à quatre pattes au soleil.