J'ai emprunté ce string à ma voisine Alexandra le temps d'une séance de photos.

Je vous en avais déjà montré quelques unes (cliquer sur cette photo):

Ce string, taillé dans une maille extrèmement fine et souple, me moule le paquet et est très agréable à porter. Il me couvre le sexe sans le dissimuler, et je trouve ça assez érotique.

Je ne vois pas bien l'intérêt de mettre ça sur un corps féminin sur lequel il n'y a pas grand chose à mouler et si peu à couvrir de ce côté-là. Il me semble plutôt fait pour une anatomie masculine et je me demande si je ne vais pas finir par me l'approprier.

A man wearing a woman's thong

Ein Mann mit einer Frau Tanga

Un hombre vestido con tanga de la mujer

Un uomo che indossa perizoma di una donna

Um homem vestindo tanga de uma mulher

Décidément, ce truc-là, je l'adore !

Et j'aime me le fourrer dans toutes les positions: debout, couché, en levrette.

J'ai toujours un peu de mal à me l'enfiler au début, mais une fois qu'il est entré en me forçant la rondelle, quelles sensations! Il m'ouvre le cul à fond et me remplit, je sens coulisser chaque centimètre qui entre dans ma caverne, et je sens chaque centimètre ressortir.

D'autres vidéos avec ce cierge en cliquant sur ces photos:

Samedi 19 octobre.

Je pars en Bretagne pour un mois, et pour rouler je vais porter une tenue un peu "hot" et, si possible, m'exhiber pendant le trajet. C'est un jour de grands départs, classé orange par le bison malin. Pour éviter d'éventuels bouchons, j'aurais pu circuler la veille ou le lundi suivant, mais justement, je compte sur l'intensité du trafic pour multiplier les occasions de me faire repérer.

Je démarre de chez moi à 8 h 00. 

Ma tenue: T-shirt noir, minijupe en jean, porte-jarretelles avec bas rouge vif, string rose flashy. Au départ, j'ai enfilé un sweat, ainsi qu'un pantalon sur ma minijupe et mes bas.

En fait, il n'y a pas trop de monde, et ça roule. Bison malin s'est fourré la patte dans l'œil.

Premier arrêt sur le parking du péage de St-Arnoult pour enlever mon pantalon et mon string

Rien à signaler. Je m'engage sur l'A11. J'espère surtout me faire remarquer par les occupants de poids lourds et de gros utilitaires qui peuvent avoir une vue plongeante sur moi du haut de leurs cabines. Mais il n'y a quasiment pas de poids lourds. Sauf exception, ils doivent être interdits de circulation aujourd'hui. La prochaine fois, il faudra que je choisisse mieux le jour de mon départ. Je roule tranquillement, je me laisse dépasser, mais personne ne remarque ma tenue. 

Arrêt pipi sur l'aire de repos de Gourville. Là, il y a un peu de monde, en particulier des familles avec enfants. Je me dégonfle, je me gare à l'écart et je remets mon pantalon pour aller aux toilettes. Avant de repartir, je m'arrête au bord de la voie de sortie pour enlever de nouveau mon pantalon. 

Bien que je roule plutôt lentement et que je me laisse dépasser, personne ne remarque ma tenue. 

Aire de repos des Charmes. Je m'y engage au ralenti. Pas mal de voitures et des camping cars. Je passe lentement devant un groupe de 5 ou 6 mecs qui fument et discutent, debout derrière leurs voitures. Personne ne me remarque. Je repars. 

Aire de service de La Ferté Bernard. Là, pas mal de monde à la station service et à la boutique. Ma minijupe est remontée à l'angle de mes cuisses et j'ai la queue à l'air. Je passe au ralenti au milieu des pompes. Tout le monde est occupé à faire le plein et personne ne me remarque. Je passe devant la boutique puis je traverse le parking au milieu des poids lourds. Personne. Je repars. 

Je roule pas trop vite en surveillant le trafic qui arrive derrière moi, et je ralentis carrément quand je vais être dépassé par un camion ou un utilitaire un peu haut. J'espère qu'il y aura un passager à côté du chauffeur et qu'il me repérera du haut de la cabine. De même, je dépasse lentement les camions et les utilitaires pour laisser le temps aux chauffeurs de me repérer. Mais ça roule bien et apparemment, personne ne me repère. 

Troisième arrêt sur l'aire de repos de Parnouette. Quand j'arrive, personne. Je me gare près des toilettes. J'hésite quand même à y aller dans cette tenue: même en rabattant ma minijupe au maximum, mon sexe dépasse (ce n'est pas qu'il soit long, mais ma minijupe est vraiment très très courte). Je remets donc mon string, et j'y vais. Très agréable: il fait frais et il y a un peu de brume. Adrénaline et accélération du rythme cardiaque. Je sens l'air frais s'insinuer sous ma jupe et entre mes cuisses. J'opte pour les WC fermés ou les pissotières? Allez, pissotières. La situation et les sensations sont assez excitantes. Tout en pissant, je commence à bander. J'ai bien envie d'enlever mon string pour retourner à ma voiture. Mais je m'abstiens, je le garde. J'ai bien fait: en sortant des sanitaires, je rencontre un type qui y vient. Je ne l'ai pas entendu arriver, il s'est garé de l'autre côté des sanitaires. Apparemment, il ne remarque pas ma tenue. Du moins, je ne sais pas et je ne me retourne pas pour vérifier. Quand même, mes bas rouges … ça n'a pas dû lui échapper ! Je remonte en voiture, j'enlève de nouveau mon string et j'attends de voir ressortir le type. Le voilà: il ne tourne même pas la tête vers moi. Il n'a dû rien remarquer ! Je repars. 

Je roule un moment en surveillant dans mon rétro ce qui arrive derrière moi pour me laisser dépasser. Mais ça devient lassant et surtout "improductif". 

Passage au péage de La Gravelle, toujours la minijupe en haut des cuisses et la queue à l'air. Rien à signaler.

Je dois faire le plein. Aire de service d'Erbrée. Je m'arrête au tout début de la voie d'accès, le temps de remettre mon pantalon. Puis pompe à essence, le plein, je paie, je remonte en voiture et je m'arrête sur le parking entre un poids lourd et un camping car pour enlever encore une fois mon pantalon, et je repars. 

Contournement de Rennes. Un moment, on traverse une zone industrielle en circulant sur 2 voies avec 2 ou 3 feux tricolores. A côté de moi, des voitures, un car…

Personne ne me remarque. A un feu rouge, un gros utilitaire arrive à ma hauteur, à ma gauche. Je vois le passager jeter distraitement un regard vers moi puis se tourner brusquement vers le conducteur. Feu vert, je redémarre. Feu suivant au rouge. Je m'arrête. L'utilitaire revient à ma hauteur, lentement. Il s'arrête. Le passager regarde franchement vers moi tout en se plaquant contre son dossier. Je comprends pourquoi: je vois apparaître une deuxième tête. C'est le conducteur qui a dû déboucler sa ceinture de sécurité pour se pencher et regarder aussi. Cette fois, c'est sûr, je suis repéré. Ces mecs voient ma queue, le haut de mes cuises découvertes, mes bas, tout ! Je lève les yeux vers eux. Ils se marrent ! Ils vont avoir quelque chose à raconter à leurs potes ! Montée d'adrénaline et très agréable sensation dans le bas ventre … Je me touche la bite. Feu vert. J'attends un instant avant de redémarrer, pour qu'ils aient le temps de bien voir. Les deux files de voitures devant l'utilitaire et moi ont déjà passé le feu. Ça klaxonne derrière nous. L'utilitaire redémarre. Moi aussi. Au carrefour, il tourne à gauche alors que je continue tout droit … Les premiers à me remarquer en plus de 300 km ! Yesss ! J'adore ça !

Voie Express. Cette fois, je roule. J'ai perdu assez de temps pour rien. C'est limité à 110, et je ne me fais dépasser quasiment par personne.

Sauf, un moment, un peu avant Plélan le Grand, par un Renault Trafic Passenger qui arrive derrière moi, à fond. Je lui jette un coup d'œil distrait au moment où il est à ma hauteur, et en une fraction de seconde, je m'aperçois qu'un des passagers regarde aussi machinalement vers moi. Et là, visiblement, il réalise ce qu'il voit. Comme le Trafic continue à me dépasser, le passager se retourne pour continuer à me voir, et je l'aperçois qui s'agite en s'adressant aux autres passagers. Deux ou trois autres se retournent aussi, mais le Trafic continue de dépasser les voitures qui me précèdent et il s'éloigne. Je n'ai pas bien vu, mais ils devaient être sept ou huit là-dedans. 

J'ai enfin de nouveau été remarqué … Légère excitation, vite dissipée. 

Jusqu'à ce que, après un ou deux kilomètres, j'arrive derrière un utilitaire qui roule seulement à 90 ou 100. Coup d'œil dans le rétro. Personne derrière. Je commence à le dépasser. Et là, je réalise que c'est le Trafic de tout à l'heure ! Le conducteur a levé le pied. Il m'attendait ! Je me dis que c'est ses passagers qui le lui ont demandé. 

En effet, tout le monde me regarde, conducteur inclus ! Et avant que j'ai pu finir de le dépasser, il accélère pour rester à ma hauteur. Qu'est-ce que je fais? Allez, je suis là pour ça, et ça me plaît bien. Je lève le pied à mon tour pour qu'ils puissent en profiter. Nous roulons côte à côte un bon moment. Pour voir ce qui se passe dans le Trafic, je dois me pencher un peu parce qu'autrement, le haut de ma portière passager m'empêche de voir. Ça s'agite là-dedans ! Les passagers du côté droit se sont rapprochés de ceux du côté gauche et tout le monde, ou presque, est aux vitres. Je compte huit mecs, avec le chauffeur. Ils sont tous typés, genre Moyen Orient. Certains me font des signes, et tout le monde se marre. Je reste concentré sur ma conduite, mais je leur jette de brefs coups d'œil, et pour en rajouter un peu, je lâche mon volant de la main droite et je commence à me tripoter la queue. 

Rapidement d'autres voitures pressées arrivent derrière moi, et les autres conducteurs s'impatientent: appels de phares, klaxon. Bon, ça va, les types du Trafic en ont vu assez. J'accélère. Le Trafic accélère aussi pour rester à ma hauteur, mais il se retrouve derrière une voiture qui roule plus lentement. Il est obligé de freiner et de se laisser dépasser. Je me rabats. Les autres conducteurs me dépassent en me jetant des regards furibards. Ceux-là ne voient pas ma tenue et doivent se demander pourquoi je ne finissais pas de dépasser.

Il ne se passe pas deux minutes et le Trafic se retrouve sur la file de gauche à ma hauteur. Cette fois, tout le monde ou presque est aux vitres du côté droit. Et je vois deux passagers sortir un appareil genre smartphone avec, visiblement, l'intention de me photographier. Ah non, pas de ça ! De ce côté, ils peuvent voir ma tronche et je ne tiens pas à la retrouver, ainsi que ma tenue et ma bite à l'air sur les réseaux sociaux. Alors j'attrape mon pantalon posé à côté de moi sur le siège passager et je me couvre le ventre. Ils protestent. Du doigt, je désigne ceux qui ont un appareil en main et je leur fait signe que je ne suis pas d'accord. Ils se marrent et, à leurs gestes et leurs mimiques, je comprends qu'ils insistent gentiment. C'est toujours non. Je lève le pied et le Trafic finit de me dépasser et se rabat devant moi. 

Il laisse passer 4 ou 5 voitures, se remet sur la file de gauche et ralentit. Je jette un coup d'œil dans mon rétro. Pour le moment, il n'y a plus de voitures derrière nous. Je reviens à la hauteur du Trafic. Les types sont toujours à leur vitre et les deux qui avaient un smartphone agitent leurs mains pour me montrer qu'elles sont vides. Bon, comme ça, OK. J'enlève le pantalon qui me couvre le bas ventre et, tenant le volant de la main droite, je me caresse les cuisses de la main gauche. Ma tenue, la queue à l'air et ces mecs qui me matent, tout cela m'excite passablement. Je commence à bander. Je me tripote la queue. Elle se raidit encore et je commence à me masturber, toujours un œil sur la route et un autre sur ces mecs. Je ne voudrais pas qu'ils reprennent leurs smartphones. Ce que je leur montre semble leur plaire, et ils laissent leurs appareils rangés pour continuer à profiter du spectacle. Nous avons considérablement ralenti et on roule comme ça pendant environ deux minutes. Je bande de plus en plus et je suis tellement excité par la situation et par ma masturbation que je suis rapidement au bord de l'éjaculation. Je lâche ma queue pour me calmer. 

Une file de voitures arrivant derrière nous, le chauffeur du Trafic accélère, finit de me dépasser et se rabat devant moi. Je m'attends à ce que, une fois la file de voitures passée, il se remette sur la file de gauche pour que je revienne à sa hauteur. Mais non. Il continue d'accélérer, et il s'éloigne. Le conducteur a dû en avoir marre. Ils doivent être attendus quelque part ….

Tout ça m'a bien excité et je me demande ce que ces mecs ont ressenti. Ça me plairait de les avoir aussi excités, de les avoir fait bander. Pendant un instant, je me fais mentalement des scénarios de fellation et de gang bang avec ces mecs. Il me reste la vidéo qui a tourné pendant toute cette séquence. Je lève le pied et je récupère mon camescope pour jeter un coup d'œil aux images. Merde! Mon attention détournée par la présence de cet utilitaire et ses occupants, j'ai oublié de déclencher l'appareil, et la temporisation a fini par l'éteindre ! 

Je me concentre sur ma conduite et je me remets à rouler à 110. Je vais peut-être les rattraper… Je voudrais bien garder un souvenir en images. Alors, les retrouver, recommencer mon numéro, et, cette fois, ne pas manquer de filmer ...

En effet, je retrouve le Trafic, mais il est arrêté sur la bande d'arrêt d'urgence juste avant la sortie de Ploërmel, les feux de détresse allumés. Un des types est sur la bande d'arrêt d'urgence, derrière le camion. Visiblement, c'est moi qu'ils attendaient, parce que, dès qu'il m'aperçoit, le type sur la bande d'arrêt d'urgence agite les bras. Je ralentis. Il me fait signe de m'engager sur la sortie. Les autres attendent, collés aux vitres du Trafic. Ils veulent quoi ? Que je les suive pour continuer le spectacle ? Ou plus ? Se faire sucer ? Se faire branler ? Me baiser ? Tout ça me traverse la tête en une fraction de seconde. 

Non, non. Je n'ai aucune envie d'avoir davantage de rapports avec ces mecs. On ne sait jamais à qui on peut avoir affaire. Je ré-accélère et je m'éloigne. Je regarde dans mon rétroviseur pour voir s'ils me suivent. Apparemment pas. Je roule pas trop vite pour en avoir le cœur net. S'ils me suivent, ils auront vite fait de me rattraper. Mais non, je ne les reverrai pas. 

Rien à signaler sur la fin du parcours.

Je m'arrête brièvement dans un petit chemin de terre pour me rhabiller convenablement. Je ne vois pas descendre de voiture en petite tenue devant chez moi, sous l'œil des voisins.