Etre jardinier, c'est plein d'avantages: travailler en extérieur, au contact de la nature, chez diverses patronnes, etc.

En plus, on utilise un tas d'outils intéressants: brouette (vous vous souvenez, la brouette ?), pioche (Ah, le manche de pioche !), rateau ...

Dans cette vidéo, tournée chez Jeanne, je taille des arbustes avec mes cisailles à main, quand une envie subite me travaille le cul. Comme je ne porte rien sous mon short (comme souvent), rien de plus facile que de me ramoner discrètement avec la poignée de mes cisailles.

Et comme ça ne me satisfait pas complètement, je vais me finir dans un coin tranquille de la terrasse.

Le cervelas: ah que voilà donc un truc génial à se fourrer dans le cul !

Tout d'abord, sa forme et ses dimensions me rappellent irrésistiblement celles d'une bite de mec en érection. Alors, quand j'en trouve dans un rayon charcuterie, je ne peux pas résister. Il m'arrive même d'avoir un début d'érection devant la vitrine du charcutier.

Ça ne vous fait pas envie, ça ? Quel gang bang !

En plus, sa consistance est celle d'une queue qui bande (je n'ai pas encore tâté la queue d'un mec en érection, mais je connais bien la consistance de la mienne, pour l'avoir abondamment masturbée).

Alors, si ce n'est pas un record en termes de dilatation, c'est un grand bonheur de se goder avec ça.

Décidément, ce truc-là, je l'adore !

Et j'aime me le fourrer dans toutes les positions: debout, couché, en levrette.

J'ai toujours un peu de mal à me l'enfiler au début, mais une fois qu'il est entré en me forçant la rondelle, quelles sensations! Il m'ouvre le cul à fond et me remplit, je sens coulisser chaque centimètre qui entre dans ma caverne, et je sens chaque centimètre ressortir.

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