Vendredi 11 avril 2014
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Depuis que j'ai goûté à cette ... charcuterie, j'y reviens régulièrement.
Je vous ai déjà montré des photos et une vidéo (cliquer sur ces phots):
Le plaisir commence dans le magasin. Que ce soit au libre service ou à la charcuterie traditionnelle,
quand je découvre qu'il y a du cervelas dans le rayon (curieusement, c'est relativement rare), je ne manque pas de m'y arrêter.
Au libre service, j'examine les produits, je les manipule, je les tâte, je les soupèse, je cherche le plus
gros, le plus long (ils sont à peu près tous calibrés de la même façon, mais il peut y avoir de légères différences ...), en imaginant l'effet qu'ils me feront quand je les aurai dans le cul. Les
autres clients ne se doutent pas de l'usage que je vais en faire ... ou peut-être qu'ils s'en doutent ...
A la charcuterie traditionnelle, en attendant que ce soit mon tour de me faire servir, je contemple tous
les phalus du rayon (saucissons, salamis, saucisses, boudins blancs et noirs ...). C'est un plaisir de me dire que, si les autres clients qui m'entourent sont là pour acheter de la nourriture,
moi je suis là pour acheter un sex toy.
La charcutière:
- Bonjour. Vous désirez ?
- C'est du cervelas, là, devant vous ?
- Oui. Je vous en mets un ?
(Mais non, ma poule, tu ne m'en mets pas un. Pas besoin de toi: je vais me le mettre tout seul. Et je
vais même m'en mettre deux dans le cul !)
- Non, pas un seul, j'en voudrais deux.
- Autre chose ?
- Non, merci. C'est tout pour aujourd'hui ...