Non, tu n'les verras plus

Les poils de mon cul,

J'en ai fait des brosses,

Et à cent francs l'kilo,

Ça fait du boulot

Pour nourrir les gosses.

Vous les verrez encore, les poils de mon cul ... Cette chanson n'est qu'un prétexte.

Et dans cette vidéo, ce que vous verrez surtout, ce sont les poils des brosses que je me fourre dans le cul !

Parce que, si dans la précédente vidéo, je me fourrais des brosses d'un calibre plutôt modeste, dans celle-ci, c'est tout autre chose ! Je commence par une brosse à habits, aux poils très doux; je continue par une brosse à chaussures, du même calibre, mais aux poils beaucoup plus raides; et je termine par une brosse de bain.

Alors là, c'est quelque chose! Déjà, elle a des dimensions ... hhmmmmm ! Et alors, quand je me fourre la brosse en totalité dans le rectum, quelle sensation quand les poils me caressent le sphincter, une fois dans un sens, une fois dans l'autre !

La précédente vidéo en cliquant sur cette photo:

A brush in my ass

Un cepillo en el culo

Uma escova na minha bunda

Eine Bürste in meinem Arsch

Vous connaissez ces boudins de mousse qui aident à flotter en piscine, et qu'on appelle des frites ?

J'en ai trouvé une dans le garage de Marie-Claire ... enfin, une demie. 

Vous pensez bien que ce truc, vus sa forme et son calibre, c'était évident pour moi d'en détourner l'usage. Sur les premières images qui suivent le générique, comparez la taille de l'engin avec celle de ma rondelle ... Pas mal, hein ?

Les débuts ont été un peu hard: son extrêmité est plate et bien que la mousse soit un peu compressible, c'est un sacré morceau à ingurgiter ! En plus, sa texture alvéolée fait un peu éponge ou buvard ... Alors, les premières tentatives, à sec qui plus est ... ouaffff, ça arrache !

Alors, contrairement à mon habitude, je me suis résolu à lubrifier abondamment ...

Mais enfin, avec un peu de persévérance ... et beaucoup de lubrifiant ... oh la laaa ! Une vraie bite de cheval !

Cette vidéo, c'est un mix de plusieurs plaisirs.

Le premier plaisir, ça a été de m'habiller en salope: mini robe moulante à motif léopard, porte-jarretelles et bas. Comme ça, je me sens vraiment pute, bonne à baiser...

Le deuxième plaisir, évidemment ça a été de m'empaler sur ce gros godemiché noir, posé sur ce miroir. Lui, il me comble au sens propre comme au sens figuré. Je me sens tellement dilaté, ouvert, rempli et fouillé jusqu'au fond des entrailles ...

Et le troisième plaisir, ça a été de me goder à la fenêtre, un peu en surplomb de la rue, et, tout en me donnant du plaisir, de regarder passer voitures et camions ...

Oooooh, si au lieu de mon gode, ça avait pu être un mec, qui me prenne comme ça, en levrette, à ma fenêtre ... Je m'imagine, appuyé au garde-corps, ou accoudé au rebord, jambes écartées, cul tendu, reins cambrés, avec un mâle en moi, qui me baise, longuement, les mains sur mes hanches, pendant qu'en bas, dans la rue, passent les automobilistes ... Ou mieux encore: plusieurs mâles qui me prennent et me fécondent chacun leur tour ...