Le blog de Marin Cathare
Après la première série de "promenade de nuit" (cliquer sur l'image
), une autre balade par une chaude nuit d'été, au lavoir d'un village voisin.
Je finis par me rafraîchir dans l'eau du lavoir, et sur les deux dernières photos, je glisse ma queue dans la buse d'alimentation du bassin. Un délice !
J'ai très souvent la queue à la main: quand je travaille, quand je me promène, quand je suis à l'ordinateur, quand je suis au volant, etc.
Non pas que je masturbe. Non, je dirais plutôt que je me tripote. J'aime beaucoup la sensation de mes doigts sur ma verge, mon prépuce, mes couilles, alors je me caresse, je me tripote, même si, parfois, je ne bande pas.
Dans cette vidéo, je me tripote à la station service, tout en faisant le plein. Je suis tout seul à cette pompe, mais ça circule autour de moi.
J'adore ça.
Après un après-midi de travail dans ce jardin, je décide de profiter des bienfaits du soleil. Dans ma voiture, j'ai toujours une serviette de bain. Alors, hop, un coin tranquille sur la pelouse, et je m'allonge...
C'est très agréable d'offrir son cul aux rayons de soleil.
Et inévitablement, au bout d'un moment, ça m'échauffe ...
Heureusement que, dans ma voiture, j'ai aussi toujours un peu de ... matériel !
Première publication le 29 février. 2012 (une année bisexuelle bisextile.)
Ce jour-là, en balade dans les champs, je tombe sur une immense meule de paille (c'est quelques jours après la moisson). Le foin, la paille, je ne peux pas résister (va savoir pourquoi...): aussitôt, je me déshabille (je suis en porte-jarretelles sous mon pantalon. J'avais sans doute une idée de ce genre derrière la tête ...) et je me tripote là.
La paille, ça gratte un peu, mais, quel bonheur!
En repartant, je croise l'agriculteur qui vient chercher des balles de paille. A cinq minutes près, il me surprenait en pleine exhibition... Ça lui aurait peut-être plu.
A moi aussi ...
Première publication le 29/12/2011
A la belle saison, j'aimais bien aller me promener de nuit dans les rues et les chemins autour de chez moi.
Parfois complètement à poil, mais le plus souvent en lingerie féminine, je profitais de la lumière des réverbères ou de l'obscurité des petits chemins.
