Deuxième expérience avec cet accessoire de piscine qu'on appelle une frite et qui aide à nager ou à faire des exercices d'aquagym.

Celle-ci, je l'ai aussi trouvée dans le garage de Marie-Claire, ma patronne ... c'était toujours plein de ressources "sexe", chez Marie-Claire.

En fait, comme la première, ce n'était qu'une demie frite, c'est-à-dire la moitié d'une frite qu'on aurait coupée en deux. Maintenant que j'y pense, je me demande bien pourquoi Marie-Claire avait chez elle deux demies frites ... et pas les deux moitiés d'une même frite ... non les moitiés de deux frites différentes ! Ça ne pouvait sûrement pas lui servir à nager ! Si ça se trouve, elle en avait le même usage que moi, c'est-à-dire qu'elle se les fourrait aussi ... dans la chatte ... ou dans le cul ! Ça serait trop drôle qu'on se soit godés tous les deux avec les mêmes frites !

On aurait peut-être pu se goder ensemble ... 

... avec la même frite ...

... vous imaginez, elle à un bout et moi à l'autre ...

Bref. Cette deuxième frite avait une surface plus lisse que la première. Elle faisait moins éponge ou buvard. Résultat, c'était beaucoup plus facile de se la rentrer dans le cul.

Un vrai bonheur, ce truc énorme, à la fois raide et souple !

La vidéo avec l'autre demie frite en cliquant sur cette photo:

Pour une fois, je vous montre les différentes parties d'une même vidéo à quelques jours d'intervalle. Alors, je m'empresse de vous montrer la suite de ce retour du marché.

J'ai déballé mes achats et je les ai étalés sur la table.

Oh la la : fruits, légumes, charcuterie, ce ne sont que des produits en forme de ... on dirait des ... ils sont tous tellement suggestifs ... j'ai envie de ... je vais me les ...

Et brutalement, il y a urgence: vite, vite, je débarrasse les poireaux de leur touffe de racines, je sors le saucisson de son blister ...

... et là, tout de suite, sur le carrelage de la cuisine, je les présente de nouveau à mon fourre-tout:

- Tu en veux, de cette carotte ?

- Oui, oui, j'en veux !

- Et cette patate, tu en veux aussi ?

- Oui, oui, donne !

- Et ce poireau, tu vois comme il est gros ?

- Oh la la ! Fourre-le moi !

- Et le saucisson ... et la banane ...

- Oh oui ! Grouille, enlève-moi ce string et ramone-moi !

Alors, évidemment ...

Oh, putain, ce que c'est bon ! Et comme souvent, après tout ça, après m'être bien enflammé le fourneau, ce qui me manque, c'est un mec qui me prendrait sur le carrelage, au milieu de ma cuisine ...

à suivre.

La première partie en cliquant sur cette photo: