J'aime porter de la lingerie féminine, et en particulier celle que j'emprunte aux femmes de mon entourage. La plupart du temps, je me masturbe dedans, mais j'aime bien aussi seulement me tripoter.

Dans cette vidéo, je me touche dans des petites culootes de ma femme. La microfibre me moule si bien la queue et les couilles qu'on devine parfaitement la forme de mon gland. La sensation de mes doigts sur mon paquet bien moulé dans le tissu fin et souple est terrible. 

Et inévitablement, sous l'effet de l'excitation, ma queue se met à baver et le fluide traverse la microfibre.

Ce n'est pas une de mes pratiques sexuelles favorites, mais c'est aussi un plaisir.

Et puis un visiteur me l'a demandé par mail. J'espère que c'est ce qu'il attendait et que ça lui plaira.

Alors que je travaille chez Anne-Lise, je découvre cette table de jardin, appuyée à un arbre. Elle m’expose ... que dis-je ... elle m’exhibe son orifice, trou noir béant au centre de ce plateau blanc. Et elle semble m'inviter: «allez, approche … tu l’as vu, mon trou ? T’es pas cap' de me baiser … Viens, fourre-moi ta queue … Je suis sûre que tu en as envie …»

Alors, évidemment, j’abandonne mon travail, j’enfile la tenue qui se trouve dans ma voiture, et je me tape la table de jardin ….

Ça vous fait penser à ce qu’on appelle un "glory hole" ? Moi aussi. C’est sûr que si un mec s’était trouvé de l’autre côté de la table et qu’il avait entrepris de me sucer, je l’aurais laissé faire ... à condition qu'après, on inverse. Et puis, tant qu’à avoir un mec sous la main, ensuite, il aurait fallu qu'il me prenne en levrette sur la pelouse….