Jardinier ... un métier formidable, que j'vous dis !

La plupart du temps tout seul chez mes patronnes (enfin, du moins, j'avais la chance que la plupart d'entre elles me confient leur jardin et leur maison pendant qu'elles étaient ailleurs !), et toujours avec des outils ... disons ... intéressants ...

Dans cette vidéo, cinq ou six séances de ramonage anal avec des poignées de cisailles ...

D'autres séances ici:

Je continue de bien m'occuper de mon "logement". J'aime qu'il soit toujours impeccable, de façon à pouvoir y accueillir un visiteur inattendu.

Cette fois, je manie la palle à poussière, une écouvillon (vous savez, c'est cette brosse ronde qui sert à faire les poussières, par exemple entre les lames des radiateurs. Hhhmmm ... l'écouvillon, un régal !), et un support de rouleaux de PQ.

la précédente vodéo en cliquant sur ça:

Me ramoner avec ce gros godemiché, c'est déjà un plaisir en lui-même.

Mais me ramoner dans mon jardin, c'est encore plus agréable.

D'abord parce que j'adore être à poil à l'extérieur, et sentir sur moi le souffle du vent, la fraîcheur de la bise ou la caresse du soleil, écouter le chant des oiseaux, les voitures qui circulent, les avions qui survolent ...

Mais surtout, entendre les gens vaquer à leurs occupations autour de moi, sentir leur présence, parfois toute proche, pendant que je me donne du plaisir ...

Ce tracteur qui bourdonne pas très loin, de l'autre côté de la haie, pendant que je me gode à quatre pattes au fond de mon jardin, c'est celui de Roger, de Nicolas ou de Jean-Pierre ?

Comment ils réagiraient ces trois là, si ils me surprenaient en train de me ramoner dans cette tenue ?

Et le chien de la voisine qui aboie dans le jardin d'à côté, alors que je me gode le cul, allongé sur le dos au milieu de ma pelouse ... il est probablement avec sa maîtresse ... 

Et justement, un jour, cette voisine m'a surpris en regardant par-dessus le mur qui sépare nos jardins. En nuisette et en porte-jarretelles, j'étais en pleine séance de masturbation sur une chaise longue. Vu qu'à l'époque elle ne pouvait pas soupçonner que je me livrais à ce genre d'activité, c'est sans doute une curiosité sans arrière-pensée salace qui l'avait poussée à regarder chez moi. Elle ne devait sûrement pas s'attendre à ce genre de spectacle ! Etant donnée la hauteur du mur de séparation, elle était forcément grimpée sur un escabeau ou une échelle. Sur le coup, en apercevant ses mains qui s'agrippaient au faîte du mur et ses cheveux, j'avais paniqué, et je m'étais précipité vers ma maison ... trop tard, évidemment ...

Et puis, à la réflexion, comme c'est une catho coincée, et vu l'image de morale et de probité qu'elle voulait donner d'elle-même, j'ai réalisé qu'elle ne pourrait jamais raconter à qui que ce soit ce quelle avait vu sans devoir expliquer pourquoi et comment elle l'avait vu. Elle se retrouvait obligée de garder le silence, parce qu'elle aurait été obligée d'avouer qu'elle était grimpée sur une échelle pour mater chez moi ... inconcevable ! Et d'une certaine manière, ça ne me déplaisait pas qu'elle connaisse mon "jardin secret".

Un moment plus délicat a été la première rencontre qui a suivi, quand nous nous sommes croisés sur notre cour commune. Elle s'est trouvée un peu gênée, a piqué un fard en baissant le nez sur ses chaussures, et a répondu à mon "bonjour" avec un petit sourire indéfinissable. Depuis, nous faisons tous les deux comme si de rien n'était. 

Jusque là, quand je me livrais à mes activités "sexe" dans mon jardin, je me sentais à l'abri d'une surprise de ce côté-là, parce que je ne pouvais pas imaginer que ma voisine soit capable de la moindre indiscrétion. Et puis, je m'efforçais toujours d'être discret pour ne pas attirer l'attention de qui que ce soit. Depuis cet incident, je m'attends toujours plus ou moins à ce que ma voisine renouvelle l'expérience. Je l'espère même un peu, ça me plairait bien de me tripoter ou de me ramoner le cul sous ses yeux. Alors, sans aller jusqu'à l'appeler quand je la sens de l'autre côté du mur, maintenant, je n'hésite plus à faire du bruit pour qu'elle sache que je suis là: je déplace table, chaises, transat et parasol sans précaution, je manipule bruyamment mes jouets sexuels (légumes, canettes et bouteilles …) ainsi que le trépied de ma caméra … Si je l'entends vaquer à ses occupations dans son jardin, de son côté, elle doit aussi m'entendre et elle doit se demander si je suis encore en train de me donner du plalsir ...