Voici mes derniers achats : une nuisette et un micro string. C’est surtout la matière dans laquelle ils
sont taillés qui m’a plu. C’est une microfibre ultra souple à base d’élasthane. Ils sont donc très moulants, et surtout, ils sont très très doux et sensuels au toucher. Je sens que je vais
beaucoup me caresser, me tripoter là-dedans.
Le string, en plus, est d’un rose bonbon qui flashe, avec des motifs noirs … il fait pute à
souhait.
Je les ai achetés ce matin dans le même magasin que la mini robe léopard que je vous ai déjà montrée
(cliquez sur la photo ci-dessous).
C’est le genre de commerce où on trouve un peu de tout: vaisselle, décoration de la maison, jouets,
gadgets, vêtements et … lingerie.
J’y suis retourné avant tout parce que je sais qu’on y trouve de la lingerie sexy, mais la présence d’une
jolie caissière black ne m’est pas indifférente. Après les photos, je vous raconte comment ça s’est passé avec elle. Notre conversationi est fidèle au mot près.
J'aime beaucoup la dentelle noire et les petits nœuds noirs entre les seins et sur l'épaule: ils
renforcent la touche féminine. C'est presque rien, et pourtant, ça fait toute la différence.
Oui, je sais, les poils sur la poitrine, ça ne fait pas du tout féminin ...
La ceinture du string est en maille très élastique. Elle est très extensible et très agréable à porter.
Lui aussi a un petit nœud noir sur le devant. J'aime beaucoup les petits nœuds noirs, mais j'aime aussi les gros nœuds noirs .
La boutique a déménagé, mais j’y retrouve la jolie caissière black à qui j’avais réglé mes achats la
première fois. En train de réapprovisionner un rayon, elle porte aujourd'hui une robe à fleurs aux tons vifs, très courte et très ajustée, qui met en valeur son joli cul et sa peau couleur café
noir. Sa robe est tellement moulante qu’on voit, en haut de ses fesses et sur ses reins, la marque de son string. Elle se sait bien faite et elle choisit ses vêtements pour qu’on le remarque. En
me voyant passer près d’elle, j’ai l’impression que ma tête lui dit quelque chose. Nous échangeons un sourire et je me mets en quête du rayon lingerie.
Je commence à étudier les strings, vérifier leur taille, apprécier leur motif, leur couleur, tâter leur
matière. Au bout d’à peine une minute, la jolie caissière apparaît à l’extrémité du rayon et s’approche. Me voir étudier la lingerie féminine lui a sans doute rappelé pourquoi elle a l’impression
de me connaître. Des types comme moi, qui achètent de la lingerie et des vêtements pour femme, il ne doit pas y en avoir des tonnes.
D’habitude, dans les magasins comme celui-ci, le personnel laisse le client se débrouiller tout seul.
Pourtant :
- Bonjour. Vous cherchez quelque chose en particulier ?
- Non. Rien en particulier.
- Si je peux vous renseigner, n’hésitez pas à me demander …
- Merci. Je regarde, mais si j’ai besoin, je vous demanderai.
A ce moment, je suis sûr qu’elle voudrait savoir si c’est ou non pour moi que je cherche de la lingerie.
Evidemment, elle n’ose pas me poser directement la question, mais ça la démange tellement, qu’après avoir arrangé distraitement quelques soutiens gorge dans le rayon, elle revient à la charge
:
- Vous connaissez la taille de votre épouse ?
- Je la connais, merci. Mais ce n’est pas pour mon épouse.
Là, ça doit la turlupiner encore plus. Chercher de la lingerie pour sa femme, ça doit être l’excuse que
donnent les hommes qui, en fait, achètent pour eux-mêmes. Et je viens de me priver délibérément de cette excuse. Au fond de moi, je me régale. Dans son esprit, reste peut-être l’éventualité que
je cherche pour quelqu’un d’autre que ma femme … Elle doit se demander comment pousser son interrogatoire sans se montrer trop indiscrète. Alors :
- Vous êtes déjà venu ici, il me semble…
- Oui. C’était dans l’autre magasin. Mais c’était dans le même rayon …
Ah, au moins, ça doit la conforter dans l’idée qu’elle a raison de m’associer à un précédent achat de
lingerie. Elle ajoute :
- Oui, c’est ce qu’il me semblait … Et … ça allait, ce que vous aviez acheté ? Je veux dire,
c’était la bonne taille ?
- Oui. C’était la bonne taille, j’ai l’habitude.
- Et … ce que vous avez acheté, ça a plu ?
Ah, bon sang ! Elle voudrait bien savoir, mais elle n’ose pas me poser franchement la question… Si elle
était la seule employée du magasin, je ne sais pas pourquoi, je lui avouerais volontiers que cette lingerie est pour moi. Voir sa réaction, lui demander ce qu’elle en pense … Mais ils sont quatre
ou cinq là-dedans, et je n’ai pas très envie d’être l’objet de la curiosité ou de l’ironie des autres. Je poursuis donc sur le mode ambigu :
- A moi, ça m’a plu, c’est ce qui compte…
- …
Tout en bavardant, j’ai décroché du portant un string et une nuisette qui me plaisent bien et que j’ai
décidé d’acheter (ceux, justement, que je vous montre plus haut). Je les lui tends :
- Vous voyez, j’aime beaucoup ces matières très souples et très douces au
toucher.
Ça ne veut pas dire que c’est pour moi: je peux les acheter pour quelqu’un d’autre et apprécier de les
toucher, de les caresser. Elle les prend, les tâte, les froisse doucement entre ses doigts. Curieusement, je suis quelque peu troublé de voir ses longs doigts noirs palper ainsi ces
sous-vêtements, qui ne sont pas encore à moi et que je n’ai pas encore portés. Mais c’est un peu comme si je lui faisais manipuler ma lingerie intime.
- Ah oui. J’aime bien aussi, c’est très agréable.
Tout en appréciant la souplesse des tissus, elle cherche les étiquettes, les lit, et remarque:
- Il y a beaucoup d’élasthane, c’est ce qui les rend si extensibles … Ah, vous avez pris des
grandes tailles …
C'est en apparence un simple constat, mais il est riche de sous-entendus. Elle me rend ma lingerie, un
petit sourire amusé sur les lèvres. Elle a raison, j’ai choisi des grandes tailles, et pour cause, c’est pour moi. En plus d’être jolie, elle est futée. Je ne m’attendais pas à ce qu’elle vérifie
ça sur les étiquettes. Visiblement, ça lui confirme que cette lingerie est pour moi. Sa curiosité satisfaite, elle me lance :
- A bientôt, sans doute …
Elle sourit, tourne les talons et s’éloigne. Je fouille encore un peu le reste du rayon, mais rien d’autre
ne me tente.
J’espérais qu'elle serait à la caisse, mais c’est une de ses collègues.
Je reviendrai avant longtemps, découvrir leurs nouveautés … et revoir cette jolie fille avec qui s'est
établi un rapport ambigu qui me plaît beaucoup.