Solo SeXe
Avertissement.
Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul.
Je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.
Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.
Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.
Dans le hangar de paille, plusieurs mecs roupillent. Ils sont couchés sur les rouleaux étagés comme des gradins jusque sous les bardages du toit. Il y a le gros Thierry, qui a réussi à hisser sa masse sur la première rangée de ballots, et qui ronfle, vautré sur un duvet de campeur qu'il a dégotté je ne sais où. Sur les rouleaux supérieurs, trois autres types sont allongés sur des nappes récupérées sur des tables qu'ils ont débarrassées. Il y a celui qui a des ailes tatouées sur le pubis … c'est quoi, son nom, à lui ? Bof, je ne sais même pas … Au même niveau, le dénommé Gilles, le grand type qui m'a fait l'amour en me roulant des pelles ce matin … il somnole, couché sur le ventre, le bras pendant le long du ballot de paille, les yeux dans le vague. Au-dessus encore, le vidéaste, assis directement sur la paille (ouille, ça doit gratter) et adossé à un rouleau, et qui consulte son smartphone. A côté de lui, j'aperçois un corps allongé sur une nappe qui déborde des rouleaux, mais je ne le reconnais pas … tout en haut, le même type que tout à l'heure, et qui n'a pas bougé …
Après le repas, la séance de cul s'est bien calmée … Il faut dire que, comme l'a remarqué l'un d'eux il y a un instant, je les ai déjà tous "épongés", et certains deux fois … vingt-sept avant de passer à table, plus quelques uns que j'ai sucés sous les tables, le gros Thierry qui a voulu que je m'empale sur son gourdin pendant qu'il mangeait, Alexis le traiteur, copain de Jean-Claude, et enfin Jean-Claude lui-même qui a seulement éjaculé contre ma fleur … Et depuis, ils se reposent … en faisant carrément la sieste pour certains, en somnolant ou simplement en discutant autour des tables pour d'autres. Moi, j'ai hâte que cette tournante reprenne, en particulier parce que je les ai décidés à assouvir un autre de mes fantasmes ... la double sodomie. Huit mecs … quatre duos ... vont me faire une double … les uns après les autres !
En attendant ça, je viens juste d'essayer de débaucher le plus vieux de la bande, mais il m'a gentiment éconduit. Alors, je jette un coup d'œil autour de nous à la recherche de celui qui voudra bien me laisser m'occuper de sa queue avant la reprise des accouplements. Merde, ils sont près de trente … je vais bien en trouver un disposé à se laisser tripoter ou sucer …
Un mouvement attire mon regard. C'est Gilles … il vient de se tourner sur le côté gauche, le bras droit replié sur le flanc. Tel qu'il est, allongé juste au bord des rouleaux, je vois son torse, son ventre, ses cuisses, ses genoux et son long sexe qui pend mollement. Lui aussi me découvre, assis au pied du hangar. Il se redresse, s'accoude, appuie sa tête sur sa main gauche et me regarde, fixement. Je vois sa main droite glisser lentement vers son ventre. Il saisit sa queue, et commence à se tripoter … toujours en me regardant. Il commence à bander … moi aussi. Alors je fais comme lui … je prends ma queue et je commence à me masturber … Le type dans son fauteuil à côté de moi n'en revient pas. Bouche entrouverte, yeux mi clos, je regarde Gilles en me paluchant. Gilles lâche son sexe un court instant, juste le temps de me faire signe de la main … "Viens !" …
Je me lève. En deux enjambées, je suis au pied de la meule. Je m'appuie sur le premier rouleau et d'un bond, je grimpe. J'enjambe le gros Thierry qui ronfle comme un sonneur, et me voilà devant Gilles qui sourit, arrête de se masturber, et attend. Il est juste à la bonne hauteur, le bassin à hauteur de ma poitrine: je n'aurai qu'à me pencher légèrement pour prendre son sexe dans la bouche. Il bande un peu mollement. Je le parcours des yeux, de la tête aux pieds. C'est toi qui m'a fait l'amour ce matin. Je pose une main sur son torse et l'autre sur sa hanche et je le caresse … Son sexe … son long sexe courbe … dans ma main … je fais aller et venir mes doigts, doucement … je le décalotte … je me penche et je le prends entre mes lèvres … Un mouvement, au-dessus de moi, sur ma droite … C'est le vidéaste qui, me voyant faire, vient de se pencher pour braquer son smartphone sur ce début de fellation.
Oooh sa bite ! Sa longue bite qui m'a si bien baisé ce matin ! C'est étonnant, pour un type qui a tiré un coup deux fois il y a peu de temps, mais ses couilles pendent encore pas mal dans ses bourses. Je les entoure de mon index et de mon pouce, et je me mets à les pétrir en tétant doucement son dard … Il durcit dans ma bouche. J'ai très envie de le faire jouir, mais j'ai peur que ça compromette la double sodo qu'il doit me faire tout à l'heure. Je le suce comme ça un moment, puis je le sors de ma bouche et je me contente de donner de grands coups de langue tout au long de sa hampe. Je lui demande:
- Tu veux quoi ?
- Ça … continue … suce moi, c'est bien …
- Tu vas jouir ?
- Je ne sais pas …
- Mais ...
Je m'interromps. Le vidéaste qui me filmait en train de sucer Gilles, vient de sauter de son rouleau de paille, et il approche de moi, en évitant tant bien que mal de piétiner le gros Thierry, couché à mes pieds. Je remarque immédiatement qu'il bande. Vraiment belle queue ! Je tends la main vers elle. Il se faufile derrière moi:
- T'occupe pas de moi … continue …
"T'occupe pas de moi" … il en a de bonnes ! Il glisse ses pieds entre les miens, ses genoux entre mes genoux et me les fait écarter … Ses intentions sont on ne peut plus claires. Alors j'écarte les pieds, j'écarte les genoux, j'écarte les cuisses … si je n'avais pas les deux mains occupées, je m'écarterais aussi les fesses … et je me cambre.
Et oui, c'était bien ça: une main sur ma hanche, de l'autre, il guide sa queue vers mon fourreau, il me pénètre et vient coller son torse contre mon dos, m'écrasant contre le fourrage … et c'est tout ! Il pose son menton à l'angle de mon épaule et de mon cou, et il ne bouge plus … pas même le plus petit va et vient …
- Continue, j'tai dit ….
Gilles, qui l'a regardé s'installer, me demande:
- Tu allais me dire quelque chose …
- Je ne sais plus …
- Tu me demandais si j'allais jouir …
- Ah oui … si je te suce et que tu jouis … après, tu pourras encore me baiser ?
- Je ne sais pas …
Je pose mes lèvres sur ses couilles. Je les embrasse.
- Ah bon ? Tu ne sais pas ?
- Pourquoi ?
- Tu as déjà pris ton pied deux fois, ce matin …
- Mouais …
- Si tu jouis encore maintenant … tu ne pourras plus me baiser, tout à l'heure …
- Peut-être …
Je passe ma langue sur ses deux boules:
- Alors, je préfère que tu gardes ce qu'il y a là-dedans pour tout à l'heure …
- Bon … alors suce-moi un peu les couilles …
Je ne me fais pas prier. Elles ne sont pas très grosses et je n'ai pas besoin de bailler beaucoup pour en aspirer une dans ma bouche. Toujours accoudé, il pose sa main sur ma tête et me regarde faire. De la langue, je joue à faire bouger son olive à l'intérieur de sa bourse. C'est très agréable … J'ouvre un peu plus la bouche et je parviens à aspirer son autre couille. Entre ma langue et mon palais, j'ai ses deux boules, ses deux glandes qui servent à produire sa crème, à fabriquer ses petites graines, à élaborer son sperme … c'est plus qu'agréable, c'est très excitant. Si seulement, en les faisant incuber comme ça dans la tiédeur humide de ma bouche, je pouvais accélérer leur production de semence … Je les frotte, je les caresse, je les bouge avec ma langue … et sous mes yeux, je vois son sexe grossir, durcir, se tendre. Ooooh, si je n'avais pas une telle envie qu'il puisse me prendre tout à l'heure, comme j'aimerais le faire éjaculer maintenant, sentir ses couilles frémir dans ma bouche, se vider, envoyer son foutre dans son urètre … Il s'écroule complètement sur le dos et repousse ma tête:
- Arrête, maintenant !
A regret, je sors ses couilles de ma bouche, et j'appuie ma joue sur sa cuisse. Derrière moi … dans moi … l'autre n'a toujours pas bougé. Je sens tout juste sa présence en moi. Je tends la main vers sa cuisse et je le caresse:
- Tu dors ?
- Non.
- Tu veux me baiser ?
- Non.
- Qu'est-ce que tu veux, alors ?
- Rien … je suis bien comme ça … je suis bien ... au chaud dans ton cul …
- Tu bandes encore ?
Pour toute réponse, il décolle son torse de mon dos et bouge son bassin d'avant en arrière … deux ou trois fois. Oh oui, il bande encore !
- Baise moi …
Il se plaque de nouveau contre moi:
- Non … je t'ai déjà baisé …
- Baise moi encore …
- Non. Tout à l'heure … on te baisera à deux …
Oh oui, vous allez me baiser à deux ! Deux bites à la fois dans mon cul … deux étalons qui me fourrent et qui me fécondent … puis deux autres … et encore deux autres … et pour finir, les deux plus grosses bites de l'assemblée …
Je me mets à rêvasser, à anticiper ce qu'ils vont me faire … Après tout, je ne suis pas si mal comme ça, une bite dans mon cul, une autre juste sous mon nez, et ces vingt et quelques étalons autour de moi, qui vont encore me saillir dans pas longtemps … J'ai hâte d'y être. Je les ai déjà tous soulagés, ces vingt neuf étalons ! J'ai beau formuler ça silencieusement dans ma tête, j'ai un peu de mal à réaliser que c'est bien à moi que c'est arrivé ... que c'est bien dans mes chairs que tous ces types ont dégorgé leurs trop-pleins de foutre. Pourtant, pourtant je ne rêve pas … il y a sous ma joue la cuisse dure et chaude d'un mec en chair et en os … et devant mes yeux ses testicules et son sexe, que je viens d'avoir dans la bouche … et il y a ce type, derrière moi, qui m'écrase contre cette balle de fourrage, avec sa queue, raide, plantée au fond de moi …
Mais la crudité, l'immoralité, l'inconvenance de cette débauche de sexe, de fornication, d'accouplements contre nature, ne sont rien en regard de l'espèce de sentiment de volupté, de satiété dans lequel je baigne à présent. J'ai mon harem autour de moi … je devrais plutôt dire mon écurie, comme on parle d'une écurie de course ... Quoique ... en réalité, ces mecs ne se sont pas des chevaux de course, mais des étalons ... des étalons reproducteurs ... voilà, c'est ça, vingt neuf étalons réunis ici pour saillir et inséminer une poulinière ... moi ! Et il y a un peu de tout: des pur-sang fins et racés comme Gilles et Manoel, de l'arabe comme Hamid, du cheval de trait puissant comme Sam le tatoué, du gros bourrin comme le gros Thierry ... et tous ... TOUS, m'ont couvert, m'ont sailli, et m'ont injecté leurs gènes, leurs gamètes ...
C'est un moment d'apaisement, de calme. Au fond de moi un mélange de plénitude, de satisfaction d'avoir assouvi un fantasme aussi … improbable, et de fierté d'avoir donné du plaisir à autant de mâles. Il y a là vingt neuf bonshommes, vingt neuf mâles plus ou moins bien équipés du bas ventre, mais qui, tous, ont ce qu'il faut entre les jambes pour être en mesure de copuler avec une femelle. D'ailleurs, la plupart, vingt trois, ont dit être mariés ou en couple avec une femme. Certains sont bi, c'est évident, quelques-uns le sont peut-être devenus seulement aujourd'hui, et il y a peut-être aussi des gays parmi les autres… mais ils sont tous actifs, c'est-à-dire que tous tiennent le rôle de l'homme. Et bien, ce qui alimente aussi ma satisfaction et ma fierté, c'est que tous ces types, qui pourraient être en train de copuler avec leur femme ou leur compagne, pour certains avec leur mec, pour d'autres avec une pute ou une salope de rencontre, tous ces types sont ici pour s'accoupler avec moi, pour forniquer, pour se partager mon cul, pour me baiser, moi … et pour me féconder !
Quelques uns dorment, d'autres somnolent, certains se reposent, bavardent, fument ou sirotent du vin ou du "fort" … tous refont leurs forces, rechargent leurs batteries, non pas pour rentrer chez eux et honorer leur épouse ou leur maîtresse, mais pour me grimper moi, à nouveau, pour me couvrir, pour me chevaucher, me troncher, me niquer, me tringler … et ça tombe bien, parce que la furieuse envie de bites qui m'a amené ici n'est toujours pas apaisée …
- Dis … tu veux pas venir ? Je voudrais bien … encore … encore te baiser …
Ah putain … ouiiiii ! Oui, je veux bien venir … oui, oui moi aussi j'ai envie que tu me baises !
Je ne sais pas qui, je ne l'ai même pas entendu arriver. Il est derrière moi … derrière nous (j'ai toujours le vidéaste avec sa queue plantée dans mon cul) … il est derrière nous, un peu sur ma gauche. Je décolle ma joue de la cuisse de Gilles, je me redresse et je tourne la tête. C'est "le comptable" … le mec à la tête de comptable … celui qui a pris tant de plaisir à me filmer avec son smartphone pendant que je le suçais, tout en me faisant enculer par l'ours … par Manoel.
Je caresse la cuisse de l'autre vidéaste, toujours planté en moi et qui ne fait pas mine de bouger:
- Allez, pousse-toi … lui, il veut bien me baiser ...
Il se décolle de moi, lentement, et je sens son sexe, toujours aussi raide, sortir de mon fourreau. Je m'écarte du rouleau de fourrage contre lequel il m'avait coincé et je me retourne. Le comptable réalise que l'autre était en moi et s'excuse:
- Je m'excuse, hein … tu bougeais pas … alors j'ai cru … je savais pas …
- T'excuse pas … j'étais pas en train de le baiser … j'avais seulement mis ma queue au chaud dans son cul …
- Ah bon …
J'empoigne la queue qui vient de s'extraire de moi, toute chaude et gluante de mon fluide anal, et je lui applique deux ou trois va et vient:
- A tout à l'heure, toi …
M'adressant au comptable:
- On y va ?
Nous enjambons le gros Thierry, qui continue de ronfler, et nous descendons des rouleaux de fourrage. J'ajuste mon porte-jarretelles, je lisse mes bas et je demande:
- On va où ?
De la main, il désigne le fond de la cour.
- On va par là.
Il se met en route et récupère au passage mon flacon de lubrifiant qui traînait sur le coin d'une table. "... par là … " Ça me surprend un peu, parce qu'il n'y a rien par là … la pelouse … il veut peut-être me prendre sur la pelouse … et au-delà, il n'y a que la barrière métallique qui ferme la cour … Tout en lui emboîtant le pas, je jette un coup d'œil vers lui. Il a encore son smartphone à la main. Il bande un peu et sa queue bat d'un côté à l'autre au rythme de ses pas.
- Où vous allez ?
C'est le jeunot, celui qui s'est masturbé dans mon string ce matin. En train de se balancer sur sa chaise, il a l'air de s'emmerder ferme et semble à l'affût d'une occupation.
- Là-bas …
- Je peux venir ?
Le comptable m'interroge:
- Il peut venir ?
- C'est à toi de voir … pour moi, c'est oui … il peut même participer, si il veut …
- Bon. Amène-toi …
Nous voilà partis, le comptable à ma gauche, le jeunot à ma droite. Je tends la main vers le comptable et j'attrape son sexe au vol.
- Tu vas me faire quoi ?
- J'tai dit, je vais te baiser …
- Tu m'as déjà baisé ce matin …
- Oui … sur le bar … et avant, tu m'avais sucé sur le matelas ...
- Ah oui, c'est vrai, je tai sucé ... et tu m'as baisé sur le bar ? Tu as déjà pris ton pied deux fois, alors ...
- Oui …
- Et tu vas pouvoir encore ?
- Tu verras …
Nous avons traversé la pelouse jusqu'à la barrière. C'est un portail à deux battants faits de quatre grosses barres cylindriques soudées horizontalement sur des montants verticaux, le tout en acier galvanisé. Il doit faire dans les six ou sept mètres de large sur un mètre cinquante de haut. A la façon dont il braque son smartphone sur moi en marchant, il est sûrement en train de me filmer.
- Mets-toi là …
Il me montre la barrière métallique.
- Appuie-toi dessus …
Je pose mes deux mains sur la barre du haut, presque brûlante sous les rayons du soleil.
- Non, sur celle d'en dessous …
Un peu penché en avant, je fais comme il veut.
- Recule un peu les pieds … écarte …
Je recule les pieds, j'écarte les jambes, je me cambre … Ça doit lui plaire de me filmer pendant qu'il me donne des ordres et qu'il m'installe pour me prendre. Je sens qu'il parle assez fort pour que son appareil capte ses paroles. Il a changé de ton. Il y a un instant, quand il est venu me chercher, il était réservé, presque timide. Maintenant, je le sens dominateur. Je veux le voir venir se placer derrière moi pour me fourrer. Je le regarde du coin de l'œil. Il a posé le flacon de lubrifiant à ses pieds. Derrière moi, un peu sur ma gauche, les yeux braqués sur son appareil, il me contemple à travers la vitre de son smartphone en se tripotant.
- J'vais encore te baiser …
- Oui.
Je joue le jeu, je lui réponds assez fort pour que son smartphone m'enregistre aussi.
- J't'ai déjà baisé, tout à l'heure …
- Oui, je sais …
- J't'ai baisé sur la table au milieu des apéros …
- Tu m'as baisé en levrette, alors …
- Ouais. Et j't'ai aussi filmé pendant que j'te baisais …
- Et tu vas encore me prendre en levrette ?
- Ouais.
Je tourne mon cul vers lui, je m'empoigne la fesse gauche et je l'écarte:
- Allez, viens … prends-moi … baise-moi … fourre-moi …
- Putain, quelle salope !
Il pose son appareil au sol, saisit le lubrifiant et s'approche. Il presse le flacon, s'enduit les doigts et me les fourre dans le cul. La fraîcheur du gel est très agréable. Il s'essuie la main sur mes reins et retourne échanger le tube de gel contre son smartphone. Le voilà derrière moi. L'appareil dans une main, braqué sur mon cul, il guide son sexe jusqu'à ma rondelle. Son gland une fois entré dans mon anus, il pose sa main libre à plat sur mes reins et commence à s'enfoncer lentement. Il doit être en train de filmer en gros plan la progression de sa queue dans mon cul. J'adore ça, être filmé pendant qu'on me baise. C'est très excitant. Alors je me laisse aller à gémir.
- T'aime ça, hein, salope …
- Hhhhhhmmmm ! Tu vas encore jouir dans mon cul, hein …
- Ou… ouais …
- Et lui aussi, là, il va me baiser ?
J'ai tourné la tête vers la droite. Le jeunot est campé à cinquante centimètres à côté de nous, les yeux exorbités, il regarde la queue du comptable qui va et vient dans mon cul, et il se masturbe … Le comptable:
- Tu veux qu'il te baise aussi ?
- Oui … et avant, j'ai envie de le sucer, pendant que tu m'encules …
- Tu veux qu'il te suce, pendant que je l'encule ?
- Ouais ouais !
Aussitôt, le gamin s'élance vers la barrière, se glisse entre deux barres et vient se placer devant moi, le ventre en avant, la queue à la main. Je pose mes avant bras sur la barre et je me penche vers sa bite. Une mousse d'un blanc éclatant baigne l'ouverture de son prépuce. Je l'essuie d'un coup de langue et je prends son gland entre mes lèvres. Il aspire l'air bruyamment entre ses lèvres arrondies en cul de poule. Salivant abondamment, je glisse ma langue entre son prépuce son gland. Il se décalotte et je le sens qui s'épanouit sur ma langue. Je commence à faire aller et venir ma bouche sur sa verge. Il prend ma tête entre ses mains. Derrière moi, j'entends:
- Oh la vache !
Et du coin de l'œil, je vois le smartphone maintenant braqué sur ma fellation. Un bras toujours appuyé sur ce barreau, je glisse mon autre main entre les cuisses du jeunot et je lui palpe les couilles. Elles ne sont pas très grosses, mais elles pendent pas mal. Cette caresse, ajoutée à ma turlute, lui fait beaucoup d'effet:
- Ooooh, doucement … j'ai aussi envie de te fourrer …
- Tu veux le fourrer ? Viens …
Le gamin recule son bassin et sort sa queue de ma bouche. Il passe la barrière dans l'autre sens. Le comptable:
- Tiens, prends mon smartphone, recule un peu et filme moi … tu le baiseras après …
Je tourne la tête vers lui. Le jeune a reculé de cinq ou six pas pour faire un plan large. L'autre, derrière moi, me prend pas la taille de ses deux mains libres et va et vient lascivement. Puis il se courbe, se colle contre moi, la tête dans mon cou et:
- T'aimes ça, hein, te faire baiser …
- Oui.
- T'aimes ça, la bite, hein …
- Oui.
- Dis-le à la caméra … t'aimes la bite, hein ?
- Oui, j'aime la bite …
- T'aimes te faire prendre par les deux bouts …
- Oui, j'aime ça …
- Et t'aimes te faire prendre par plusieurs mecs en même temps …
- Oui … j'aime ça …
- Tu t'es fait baiser par combien de mecs, aujourd'hui ?
- Vingt neuf … Je me suis fait baiser par vingt-neuf mecs …
- Vingt neuf ?
- Oui …
- Ah, la salope ! Bon allez, on change … viens, toi … tu vas prendre ma place … donne moi mon smartphone, mais continue de filmer, qu'on voit bien qu'on l'encule chacun notre tour …
Il se redresse et sort de mon cul. Le jeunot approche, lui tend son appareil et vient se placer derrière moi. Pendant qu'il plaque son gland contre ma fleur, je me redresse un peu, et là …
là …
… au-dessus du mur de pierres bordant le chemin qui longe cette barrière … il y a trois têtes ! Ou plutôt, le haut de trois têtes … des cheveux, quoi … qui bougent … et une main, posée sur le faîte du mur … On nous regarde … ou on nous regardait … il y a trois personnes derrière ce mur, sans doute grimpées sur quelque chose, et qui nous regardent … qui se rincent l'œil. Ce mur-là, lors de ma première visite chez Jean-Claude, j'avais cru qu'il fermait le quatrième côté de la cour de la ferme. En fait, non. Il y a ce chemin empierré entre le mur et la cour. Les trois voyeurs ont dû se baisser quand mes deux baiseurs ont échangé leurs places, mais pas assez … le haut de leurs têtes dépasse encore … Ça me rappelle ma voisine qui m'avait surpris en train de me faire tringler par Gabriel sur ma pelouse …
Sur le coup, en découvrant ces trois têtes au-dessus du mur, mon rythme cardiaque a fait un bond sous l'effet de la surprise … j'ai baissé la tête en pensant « merde, on va me reconnaître », et aussitôt, je réalise que c'est con … je m'en fous … et puis, dans le fond, ça me plaît plutôt, que des voyeurs nous matent…
J'ai un peu oublié le jeunot qui s'est installé, et qui a commencé à aller et venir dans mon fourreau, les mains sur mes reins. Qu'est-ce que je fais, je me tais et je laisse les voyeurs mater ? C'est excitant. Et puis, les deux, là, si je leur dis ce que j'ai vu, ils vont peut-être prendre leurs jambes à leur cou ... Je décide de me taire … pour le moment … Le comptable filme, le jeunot m'encule. Tout à cette séance de cul, ils n'ont rien vu. Je veux vérifier si on nous regarde encore. Je ferme les yeux presque complètement, et je relève lentement la tête. Entre mes paupières presque fermées, je distingue maintenant trois paires d'yeux, au ras du mur, sous trois tignasses coiffées en crêtes. Ça doit être des jeunes ! Le mur est à une dizaine de mètres de nous, mais j'ai bien l'impression que j'entends des chuchotements et des ricanements … Hhmmmmm, très bien ! Regardez … je ne sais pas qui vous êtes, mais j'espère que le spectacle vous plaît, que ça vous excite … Moi, ça m'excite … mais je crois que ça m'exciterait encore plus si vous regardiez franchement, sans vous cacher … Je tourne le truc dans ma tête … comment faire pour que les deux autres continuent de me baiser devant ces voyeurs ? Alors, je me lance à voix basse:
- Hé, les mecs, vous avez déjà baisé en public ?
- Quoi ?
- Est-ce que vous avez déjà baisé quelqu'un en public ?
Le comptable:
- Ben oui … toi, ce matin …
- Non, pas comme ça … baisé devant des voyeurs … devant du public …
- Non … et toi ?
- Plus ou moins …
M'adressant au jeune:
- et toi ?
- Moi … non
- Ça vous dirait ?
- Quoi …
- … de le faire … de me baiser devant des spectateurs …
Le comptable, sur un ton bravache …
- Moi ? Pas de problème …
Le jeunot:
- Je sais pas … ça dépend …
Le comptable:
- Pourquoi tu demandes ça ? Tu voudrais aller faire ça sur la place du village ?
- Heemmm ! Pas besoin … des voyeurs … il y en a déjà … ici… on nous regarde …
- Quoi ? Où ça ?
Evidemment, il se met aussitôt à chercher, et il a tout juste le temps de voir disparaître les trois têtes derrière le mur …
- Oh putain ! C'est qui, ça ?
Le jeunot, affolé, sort de mon cul instantanément et je le sens, derrière moi, prêt à détaler …
- Où ça ? J'ai rien vu … je me barre …
J'essaie de le calmer:
- Attends … de toute façon, c'est trop tard, ils nous ont vus … et depuis un moment, à mon avis …
- Ouais, mais j'veux pas … j'ai pas envie … c'est qui, ces mecs … ils sont où ?
Je me redresse complètement et, haussant la voix:
- C'est bon, les mecs ! Vous êtes grillés. Sortez de là !
- Ils sont où ?
- Derrière le mur, juste en face …
A mon avis, ils sont coincés. A notre droite, là où le chemin se termine en impasse, le mur en question est effondré … à l'autre bout, sur la gauche, il se termine brusquement. Ils ont dû se glisser derrière sans qu'on les remarque, occupés que nous étions autour des tables et ailleurs. Mais, maintenant qu'on les a repérés, ils ne peuvent sortir de derrière ce mur que par un bout ou l'autre, et on ne peut pas les manquer. Ils ont dû m'entendre, mais ils ne bougent pas.
- J'y vais !
Je me glisse entre les barres métalliques et j'ai le temps d'apercevoir le jeunot, les mains sur le bas ventre en guise de cache-sexe, filer en direction du hangar le plus proche … le comptable passe la barrière à ma suite. Pieds nus sur le gravier, je regarde à droite et gauche. A droite, c'est un cul-de-sac fermé par un énorme roncier. A gauche, le chemin fait un coude pour longer d'un côté les murailles et les hangars de la ferme de Jean-Claude, et de l'autre un mur aveugle. Ça doit être l'arrière d'un ancien bâtiment agricole dont la façade donne sur la place du village. De ce côté, ce mur nous masque à la vue des habitants. Je me souviens que Jean-Claude m'a dit que ce chemin privé lui appartient. Nous le traversons en sautillant, pieds nus sur les graviers. Le comptable n'a pas l'air plus gêné que moi de se balader à poil, la queue en bannière. Nous voilà sur l'herbe de l'autre côté du chemin, et à l'angle du mur.
Ils sont trois, en effet. C'est des gamins … des ados. Ils sont grands, presque aussi grands que moi, un peu frêles, et ils ont des têtes de gamins, avec leurs espèces de crêtes luisantes de gel et leurs tempes presque rasées. Il y a aussi trois vélos appuyés contre le mur, et de toute évidence, ils étaient montés sur leurs selles ou sur leurs cadres pour mater par-dessus le faîte. Ils sont estomaqués de nous voir débouler devant eux, à poil … enfin, moi, avec mon porte-jarretelles et mes bas, je ne suis pas exactement à poil. Alignés, chacun agrippé au guidon de son vélo, prêts à filer ... mais nous leur barrons leur seul passage qui leur permettrait de s'enfuir. Ils baissent le nez pour ne pas affronter nos regards … ou nos nudités, et se jettent des coups d'œil en ricanant. Je demande:
- Alors, les jeunes … on mate ?
Alors que les deux les plus proches de nous semblent pétrifiés, le troisième enfourche son vélo et lance:
- Bon ... on se barre, les mecs ...
J'interviens:
- Tsss tsss tsss ... minute ! On va pas vous bouffer ...
Ils sont désemparés, se demandent ce qui va leur arriver.
- Ça vous a plu, ce que vous avez vu ?
Ils se regardent par en-dessous, ricanent encore … Il y en a un, apparemment plus jeune que les deux autres, qui tremble … Et le plus grand, celui qui a enfourché son vélo et qui semble diriger le trio … il a beau baisser le nez, je le reconnais … Tout à l'heure, je ne l'ai vu que de loin, mais c'est sûr … c'est le commis du traiteur ! Et là, je réalise qu'ayant dû emprunter un chemin à la fois notoirement privé et en impasse, ce mec et les deux autres ne sont pas arrivés là par hasard. Et pour avoir choisi comme poste d'observation discret le seul endroit d'où ils pouvaient voir toute la cour de la ferme, il fallait non seulement qu'ils connaissent la topographie des lieux mais qu'ils aient su, ou deviné, ce qui s'y passait. C'est clair, ce matin, en livrant les victuailles avec son patron, le commis a vu ! Alexis l'a empêché de venir avec lui jusqu'aux tables où j'étais en train de me faire saillir, il l'a obligé à rester dans la camionnette, mais ce môme a compris, de loin et très rapidement, qu'il se passait quelque chose d'intéressant dans cette cour de ferme. Il n'a dû avoir qu'une idée en tête, venir vérifier … et il a amené des copains.
- Je te reconnais, toi … tu es le commis d'Alexis …
Il ne ricane plus, baisse encore le nez. Je sens qu'il panique.
- Vous allez pas lui dire …
Ce que je me demande, surtout, c'est s'il a vu son patron à poil parmi nous … et le reste …
- Regarde moi. Vous êtes là depuis longtemps ?
- Oh non, m'sieur !
Mouais !
- Vous avez vu quoi … à part nous trois, là, à l'instant …
Ils se regardent, muets. Je me doute qu'ils ne savent pas quoi dire … ou comment le dire … Je m'adresse au commis. C'est lui qui a entraîné les deux autres …
- Tu m'as vu sur les balles de pailles, avec un type collé contre moi ? Juste avant qu'on vienne à ce portail …
- Oui, m'sieur …
Je préfère ne pas lui demander s'il m'a vu ressortir du hangar avec son patron. Alors j'élude.
- Et avant, tu m'as vu m'asseoir sur les genoux du gros ?
- Oui, m'sieur … et … et sur l'autre aussi, avant …
- Le type tatoué, tu veux dire ?
- Celui … le crâne rasé, m'sieur …
Je me penche à l'extrémité du mur pour jeter un coup d'œil en direction de la rangée de tables. C'est loin, mais on voit clairement tout ce qui s'y passe. C'est râpé, il a forcément vu son patron. Si Alexis était sans doute en partie masqué par d'autres convives pendant le repas, il n'a pas pu le manquer quand nous somme ressortis du hangar aux machines … Bah, c'est leur affaire ! Le comptable est toujours à l'extrémité du mur, comme pour couper la retraite aux trois gamins. Je réalise que, son smartphone dans la main gauche, il est sûrement en train de les filmer discrètement. Je viens me placer face au trio. Et là, je m'aperçois que les deux plus grands ont tous les deux une petite tache humide sur leur bermuda au niveau de la braguette. Je ne sais pas si ils se sont branlés, mais en tout cas, ils ont pas mal mouillé pour que ça traverse leurs caleçons et leur short. Le spectacle a dû pas mal les exciter ! Ils ne savent pas où regarder. Je poursuis:
- Et tu m'as vu entrer sous les tables à quatre pattes ?
- Oui, m'sieur …
- Tu sais ce que j'y faisais ?
Il sourit, les yeux baissés.
- Oui, m'sieur …
- Dis-le … ce que je faisais sous les tables … Dis-le …
- …
Le comptable:
- Allez, dis-le !
- Vous … vous avez … sucé les … les autres …
Il ricane.
- Tu as vu, ou tu as deviné ?
- J'ai deviné … d'ici, on voyait pas …
- Ça te choque ?
- Quoi, m'sieur ?
- Tout ça … ce qu'on fait … ce que les autres me font … ça te choque ?
- Ben … je sais pas …
- Vous savez comment ça s'appelle ?
- Quoi …
- Ce qui se passe … là … dans cette cour …
- Ben … une partouze …
Ça me fait rire intérieurement. Naïveté ou manque de vocabulaire ? Je rectifie:
- Disons plutôt un gang bang … ou une tournante, si vous préférez …
Le commis:
- Une tournante ? C'est avec … avec une fille, non ? C'est quand plusieurs … plusieurs personnes … des garçons … ils … ils violent une fille ...
- Oui, si tu veux … mais là, il n'y a pas de fille … c'est moi qui fais la fille … et les … les garçons, ils ne me violent pas … je suis d'accord … tu comprends ?
- Euh … ils … ils vous …
- Eux et moi, on fait ce que font normalement un homme et une femme … ou deux hommes … tu comprends ?
- …
- On baise … enfin … ils me baisent …
- Mais … ils vous font … ils vous le font … tous ?
Il a insisté sur le "tous". Je réalise que ce qui le surprend ou ce qui le choque, c'est moins la nature homosexuelle de cette "partouze", comme il dit, que le fait que je sois la seule "fille" pour tous ces hommes.
- Oui ... ils me le font tous … ils me baisent tous … Ça te choque ?
- Ben … je sais pas, m'sieur …
- Tu as quel âge ?
- Dix-huit … bientôt ...
- C'est-à-dire ?
- C'est-à-dire ... quoi ...
- Tu auras dix-huit ans dans combien de temps ?
- La semaine prochaine ...
- Et vous deux, là ..
- Moi, j'ai dix-huit ans …
- Depuis ?
- Depuis trois mois ...
- Et toi ?
- Moi ... dix-sept et demi, m'sieur …
- Vous aviez déjà vu faire ce genre de choses, avant ?
- Oui, mais pas … pas en vrai … et avec des filles …
- Sur Internet ?
- Oui, m'sieur, sur Internet …
- Et vous en pensez quoi ?
- Ben …
- Ça vous fait de l'effet, de voir faire ça ?
Les deux plus grands se regardent en ricanant. Je sens que, peu à peu, ils se détendent. J'insiste:
- Ça vous excite ?
Ils ne répondent pas, secouent la tête en faisant la moue … non, ça ne les excite pas.
- Ça ne vous excite pas, mais vous avez mouillé … tous les deux, vous avez une tache sur vos shorts …
Ils baissent le nez tous les trois pour vérifier. Du coup, devant l'évidence, ils se sentent mal à l'aise. Le commis passe la main sur la tache, comme pour la faire disparaître.
- Elle ne partira pas comme ça … ça va sécher … tu t'appelles comment ?
- Moi ? Grégory …
- Et vous ?
- Pascal …
- Jordan …
- Oui … donc, ça vous excite …
Ils se demandent où je veux en venir.
- Vous avez des copines ?
Ils secouent la tête, tous les trois … Pas de copines …
- Vous vous branlez, de temps en temps ?
Ma question les sidère.
- Hé, les mecs ! Vous pouvez le dire … vous nous avez vus baiser, tous les deux … tous les trois … vous m'avez vu me faire baiser par plusieurs mecs, en sucer d'autres … hein … vous avez vu tout ça, non ?
- Oui … oui m'sieur …
- Alors, vous pouvez bien nous dire si ça vous arrive de vous branler …
Le commis … Grégory:
- Oui, ça m'arrive …
- Moi aussi …
Le plus jeune, Jordan, hoche la tête … ça lui arrive aussi …
- Et ça vous a excités, de nous voir …
Je n'ai pas demandé, j'ai affirmé. Ils baissent le nez. Leur mine est une réponse: oui, ça les a excités …
- Ça vous fait envie ?
Je regarde le comptable. Il fronce l'œil, sourit, se demande visiblement où je veux en venir. Il y a un moment de silence gêné. C'est vrai que ma question est ambiguë. Qu'est-ce qui peut leur faire envie, de seulement regarder, ou de le faire aussi ? Les trois jeunes, têtes baissées, se jettent des coups d'œil, ne comprenant pas …
- Ça vous fait envie de nous regarder baiser ici … à côté de vous ?
Le comptable:
- Tu déconnes ? On va pas … devant eux …
- Ça fait quoi ? Tu l'as fait devant vingt mecs, ce matin … et tout à l'heure, ces trois-là nous ont regardés … tu le savais pas, mais ils nous regardaient …
- Mouais …
Grégory hausse les épaules … il ne sait pas … il ne comprend pas … J'insiste:
- Moi, ça me plaît, que vous ayez regardé … j'aime ça, me faire baiser devant des spectateurs … alors, si ça vous dit, on le fait devant vous … vous avez déjà commencé à regarder, alors, pourquoi pas continuer sans vous cacher derrière ce mur …
Je me tourne vers le comptable:
- Alors, ça te dit ou pas ? Ça te gêne ?
- N… non … ça me gêne pas …
Pas vraiment convaincu, le comptable. J'ai l'impression qu'il a accepté de peur de passer pour un dégonflé. J'insiste:
- Alors, les jeunes … mais vous n'êtes pas obligés … si vous n'avez pas envie de voir ça, vous pouvez partir …
Ça bouillonne dans leurs crânes. Ça doit vraiment les tenter de voir ça de près, et en même temps, ça doit leur faire peur. Alors, je prends le comptable par le poignet et je le pousse contre le mur. Je tombe à genoux à ses pieds, dans l'herbe, et je le prends par la taille. Il a débandé … enfin, pas complètement. Un peu surpris, il se laisse faire. Je pose mes lèvres sur sa verge et je la lèche. Puis je saisis sa queue, je la soulève, et je lui lèche les couilles. Ça y est, il raidit. Je prends sa queue dans la bouche et je commence à le pomper. Je pense que, finalement, la situation lui plaît bien. Il se prend au jeu, pose sa main sur ma tête … Je regarde les trois gamins du coin de l'œil. Sidérés … mais ils ne partent pas. La queue du comptable grossit entre ma langue et mon palais. La situation m'excite … j'ai envie de les faire bander, ces trois mômes … j'ai envie de les exciter … de leur donner envie … ça va pas être difficile, ils se sont déjà excités à nous regarder baiser sur cette barrière … mais je voudrais les voir sortir leurs bites et se branler en nous regardant …
Le comptable s'est adossé au mur et il se laisse sucer les yeux mi-clos. Il bande vraiment, maintenant … Je le suce encore un moment, puis je le sors de ma bouche et je me relève. Il ouvre les yeux. Tout en le masturbant machinalement, je me tourne vers les trois gamins.
- Alors, les jeunes … ça vous plaît ?
Muets, immobiles, le regard fixe, ils sont apparemment sous le choc de ce qui vient de se passer sous leurs yeux. J'insiste:
- Ça vous a plu ?
Le commis déglutit et secoue la tête. Oui, ça lui a plu. Les deux autres hésitent, puis l'imitent. En tout cas, tous trois semblent beaucoup moins gênés par notre nudité, ils nous regardent franchement, hésitant seulement à poser leur regard directement sur nos ... anatomies. Sur le bas ventre de Grégory, une bosse tout en longueur tend la toile de son bermuda jusqu'à la petite tache humide. Il bande de nouveau. Les deux autres … je ne vois pas, leurs shorts sont trop amples. Je poursuis:
- Bon ... la pipe ça vous plaît … et si il me baise, ça vous dit de nous regarder ?
Ils se regardent, interrogatifs.
- Vous n'êtes pas obligés, hein ... vous pouvez partir …
Ils n'osent pas répondre … se regardent les uns les autres … mais ils ne bougent pas … Je prends leur silence pour un assentiment … Ça doit quand même drôlement les chambouler, ces trois jeunes ... se faire offrir ce genre de spectacle en live ... ils ne devaient pas s'attendre à ça en se faufilant derrière ce mur ! Je me tourne vers mon comparse, et tout en le masturbant, je lui demande:
- Tu vas me baiser, maintenant ?
Il hoche la tête. Oui, il va me baiser.
- Tu me prends à quatre pattes, ou debout contre le mur ?
- A quatre pattes …
Il se décolle du mur, vient se placer derrière moi, et me prend par la taille, attendant que je me mette en position. Sa queue toujours dans la main, je montre le mur.
- On va se mettre comme ça, face au mur … pour qu'ils nous voient bien, nos jeunes amis … Approchez, les jeunes … y'a pas de danger … et puis, vous pouvez poser vos vélos ...
Les deux plus âgés se consultent du regard et appuient de nouveau leurs engins contre le mur, aussitôt imités par le troisième. Inutile de préciser que ça me plaît qu'ils restent pour regarder.
- Vous pouvez vous branler, hein … Y'a pas de honte non plus …
Je fais un pas en direction de Grégory. Le comptable me suit, sa queue, raide, toujours dans ma main. Un peu effrayé, le gamin se raidit, mais ne bouge pas.
- Tu bandes déjà, toi, dans ton bermuda …
Il sourit bizarrement, un peu par gêne, un peu par défi, ouvre la bouche, s'apprête à nier … et renonce. J'avance ma main vers son bas ventre, sans le toucher.
- Je peux ?
Il baisse les yeux vers ma main. J'insiste.
- Je peux toucher ?
Je n'attends pas la réponse. Je palpe. Oui, il bande ... et putain ... ce que j'ai dans la main ... c'est ... Il plante ses yeux dans les miens avec l'air de me dire « oui, je bande et je m'en fous, tu peux toucher ».
- Tu peux la sortir et te branler, pendant qu'il me baise …
Je fais demi-tour, et je m'installe à quatre pattes, face au mur, genoux écartés, reins cambrés, croupe offerte. Le comptable s'agenouille entre mes mollets, pose son smartphone dans l'herbe à côté de moi, et m'empoigne la hanche. Je tourne la tête vers les trois jeunes. Ils matent, les yeux écarquillés. L'autre, derrière moi, prend son temps … son gland dans mon anus. Je ferme les yeux, la tête rejetée en arrière, la bouche ouverte. Ah putain, que c'est bon de se faire prendre comme ça, sous les yeux de ces jeunes mecs ! Il s'enfonce tout doucement en moi. Oh ouiiiiiiii ! Ça y est, il est au fond. Il commence à aller et venir, lentement … De ses deux mains, il me caresse fébrilement le dos, les flancs, les reins, les fesses … Je sens que, finalement, la situation l'excite aussi beaucoup. Alors, il va peut-être pouvoir jouir une troisième fois … Je tourne encore les yeux vers les jeunes. Grégory, les yeux braqués sur mon cul, a la main posée à plat sur son bas ventre et presse la grosse bosse de son bermuda. Son copain, à côté de lui a une main dans une poche et doit être en train de se triturer la queue. Le plus jeune, derrière eux, tend le cou pour regarder par-dessus leurs épaules, et je ne vois pas ce qu'il fait de ses mains. J'essaie de capter le regard de l'un ou l'autre. Enfin, Grégory me regarde. Je hoche la tête et, sans émettre le moindre son, j'articule à son intention « branle-toi ».
Il a compris. Il déglutit, hésite un instant, jette un coup d'œil à son voisin ... et déboutonne son bermuda … Oooooh ouiiii, il va sortir sa bite ! Il va se branler ! Je lui souris, je l'encourage du regard. Il descend sa fermeture éclair, plonge sa main dans son caleçon, écarte les pans du bermuda, et sort sa queue ! Oooh la laaaa ! Il est vachement bien monté, ce môme ! Bouche bée, j'écarquille les yeux … Oh, mec, quelle queue ! Un peu étonné, il a quand même compris mon message silencieux. Il baisse le regard vers son sexe, le contemple quelques secondes, relève les yeux vers moi, et souris. Je pense qu'il vient de réaliser qu'il a un sexe qui sort de l'ordinaire. Alors, cramponnant un pan de son bermuda d'une main, il se met à se masturber ouvertement. Son pote Pascal, à côté de lui, a perçu ses mouvements. Il le regarde, étonné de le voir la queue à l'air et, d'un coup, il sort sa main de sa poche, se déboutonne à son tour et déballe aussi sa bite. Il bande aussi, évidemment. Plus fine, plus courte. Allez-y, les mecs, branlez vous !
C'est parti ! Leurs deux mains s'activent à toute vitesse. A ce rythme, ils vont se répandre très vite … Derrière moi, l'autre grogne … J'ai l'impression qu'il est au bord de l'éjaculation … En effet, ses va et vient sont de plus en plus saccadés. Brusquement, il plaque son ventre contre mes fesses, s'immobilise et, dans grand "hooooooooooonnnnn!", il jouit . Je regarde les jeunes. Ils ont compris que je suis en train de me faire remplir. Pascal, yeux et bouche grands ouverts éjacule en trois ou quatre jets brefs. Oh putain, il aurait bien voulu me baiser aussi, celui-là ! Grégory a ralenti, mais il ne jouit pas … Derrière eux, le plus jeune s'agite un instant, puis il ferme les yeux et se plie en deux en gémissant. Ces trois mômes qui m'ont regardé me faire baiser … ça m'excite … je bande …
Le comptable reprend lentement ses va et vient en gémissant aussi et en déglutissant bruyamment. Il me caresse doucement les fesses. Puis il s'extrait et se relève péniblement … Je reste un instant à quatre pattes, et je me relève à mon tour.
Pascal et Jordan ont remballé leurs queues et baissent les yeux, un peu honteux … Grégory est un peu mal à l'aise, maintenant qu'il est le seul du trio encore la bite à la main. Mais il bande toujours. A côté de moi, le comptable a les yeux braqués sur le sexe du gamin. Il vient seulement de le découvrir et il n'en revient pas. Le môme fait mine de remballer aussi son engin.
- Attends !
D'une enjambée, je le rejoins et je saisis son poignet.
- Attends un peu … la range pas … je peux la toucher ?
Il cligne des yeux, surpris par ma demande … il ne sait pas quoi faire … Son pote Pascal:
- Bon … on s'en va ? Tu viens, Greg ?
Greg ne répond pas. Je sens qu'il hésite. Je me demande si il hésite parce qu'il a envie que je lui touche la bite, ou si il hésite parce qu'il a peur de me contrarier en refusant. Il déglutit et, ses yeux plantés dans les miens:
- Allez-y, les mecs, je vous rejoins …
Yesssss !
Ses potes, étonnés, ouvrent de grands yeux. Pourquoi il ne part pas avec eux ? Il y a un instant de silence gêné, pendant lequel ils dévisagent Grégory, puis je vois à sa mimique que Pascal a compris:
- Bon, viens, Jordan. On y va.
Ils récupèrent leurs vélos, les enfourchent et filent sur le chemin.
Je me tourne de nouveau vers Grégory. " Allez-y, les mecs, je vous rejoins …". Ça veut dire qu'il reste … et qu'il reste alors que je viens de lui demander si je peux lui toucher la bite. Je plonge mes yeux dans les siens:
- Donc, je peux toucher …
à suivre ...