Solo SeXe
Avertissement.
Dans ces "récits pornographiques", je décris des relations homosexuelles avec des inconnus et avec des éjaculations sans protection, dans la bouche et dans le cul. Il est bien évident que je ne saurais conseiller ou inciter mes lecteurs à pratiquer de telles relations sexuelles non protégées avec des inconnus ou avec des partenaires douteux.
Selon les O.N.G. et le Ministère de la santé, 36.000 personnes ignorent être porteuses du S.I.D.A en France, et on y dénombre 6.500 nouvelles contaminations chaque année.
Dans les deux cas, je crois bon de préciser que ce que je décris n'est pas du vécu. Ce ne sont que des fantasmes.
Mercredi 27 décembre 10h00
- Tu veux la toucher ?
- …
- Ma bite … j'ai vu que t'arrêtes pas de la regarder … tu veux la toucher ?
Il est là, devant moi … presque à m’effleurer, ses yeux vicieux plantés dans les miens …
Ce mec, c'est le livreur de meubles … livreur et poseur de meubles … il s'appelle Paulin (je ne sais même pas si c'est son nom ou son prénom), et il est arrivé ici à 9 heures, avec un collègue.
Tout de suite, j'ai remarqué sa tenue extravagante pour un mois de décembre … il est habillé comme en plein été, mais surtout, il porte une espèce de pantalon de zouave, un peu bouffant et taillé dans un tissu tellement fin et léger que, quand le vent lui plaque sur les cuisses, il lui moule sa bite qui pend dans la jambière … et quelle bite, nom de dieu ! Longue et épaisse … le même calibre que la bite de Sam, la brute tatouée qui m'a baisé pendant mon gangbang dans la ferme de Jean-Claude. Et physiquement, ce type est taillé comme Sam … massif, dense, costaud …
Le vent lui plaque le tissu sur la bite, mais en plus, quand il s'accroupit pour assembler au sol les différents éléments des meubles, il tire un peu sur ses jambières pour se donner de l'aisance, et ce geste mécanique lui colle aussi la toile sur les cuisses et lui moule aussi la queue ! Et comme je suis là, à lui servir plus ou moins d’assistant et à le regarder travailler, j’ai régulièrement son gros truc sous les yeux … et ça me fascine, forcément … je ne peux pas en détacher mon regard. Alors, il a fini par repérer mon manège, et au lieu de chercher à dissimuler tant soit peu son engin, voilà qu’il s'est mis, au contraire, à le caresser ostensiblement à travers le tissu. Comme un con, j'ai piqué un fard et je suis allé me planquer dans la salle d'eau attenante à la chambre. Pourtant, j'en ai maté des queues, depuis quelques mois … et sans me cacher … au contraire. Mais là, je sais pas … ce type me met tellement mal à l'aise. Et il vient de me rejoindre dans la salle d'eau !
- Tu veux la toucher ?
- …
- Ma bite … j'ai vu que t'arrêtes pas de la regarder … tu veux la toucher ?
Les pouces passés dans la ceinture de son pantalon, on dirait qu'il s'apprête à le baisser pour m'exhiber son gourdin. J'ai le cœur qui bat et j'ai la bouche sèche … pourtant, je viens de boire au robinet du lavabo. Bien sûr que j'ai envie de la toucher, sa bite … et plus que ça, même … j'ai une folle envie de la branler, sa bite, j’ai une folle envie de la lécher, de la sucer, j’ai une folle envie qu'il me grimpe, qu'il me chevauche, qu'il me la carre dans le cul, sa grosse bite ! Mais je ne sais quoi me bloque … je n'ose même pas baisser les yeux sur son bas ventre … je reste là, comme un con, sans répondre ni oui ni non …
- Alors, t’as envie de la toucher, ou pas ? Elle te fait peur ?
- …
- T’en as sûrement jamais vu une comme ça , hein …
Alors il prend l'initiative … comme je ne réponds pas, que je ne l’envoie pas chier, suivant l’adage de ”qui ne dit mot consent”, il doit en conclure qu’en effet, j’ai envie de la toucher, sa queue … Il s'approche encore un peu, il saisit mon poignet, il attire ma main vers sa cuisse et il me la plaque sur sa queue:
- Allez, vas-y, touche …
Je ne fais même pas mine de résister. Oh la vache ! Elle est là, sous le tissu … je la sens, chaude et ferme … c’est plus fort que moi, je referme mes doigts dessus … Putain, j'ai l'impression que mes doigts en font tout juste le tour ! Pourtant, j'ai des grandes mains ! Est-ce qu'il est au repos, ou bien est-ce qu'il bande déjà un peu ? Il sourit, ses yeux plantés dans les miens, et il lâche mon poignet. Spontanément, je commence à faire aller et venir ma main le long de sa hampe. Il sourit de plus belle, content de lui :
- Alors, tu vois, elle te plaît, hein …
Il est tellement sûr de lui, ce mec ! Bien sûr, qu’elle me plaît, sa queue ! Et ça me tombe brusquement dessus. D'un seul coup, toutes mes réticences s’évanouissent comme une bulle de savon qui éclate et disparaît … J’ai ce membre énorme, exceptionnel, dans ma main, et ce type n’attend qu’une chose … que je m’occupe de son sexe, que je lui donne du plaisir … et je ne vois soudain aucune raison de ne pas lui donner satisfaction, puisque, d’une certaine façon, c’est mon rôle, ma mission, ma vocation, de donner du plaisir aux mâles.
Alors, sans que ce mec ait besoin d’ajouter quoi que ce soit, je tombe à genoux à ses pieds et, dans le même mouvement, je saisis la ceinture de son pantalon et je la descends jusque sur ses genoux … Tout de même un peu surpris par ma réaction, il ricane … mais je m’en fous. J'avais vu juste, il ne porte ni slip ni caleçon sous sa culotte de zouave. Oh la laaaaa, quelle merveille ! Il relève un peu le bas de son T-shirt ... alors, d'une main je redresse un peu sa queue, et de l'autre, je passe le bout de mes doigts sur le dessus de sa verge … Ce qu’elle est lourde ! Je crois qu'il ne bande pas ! En effet, même dans cet état, mon pouce et mon index, serrés autour de sa verge, ne se rejoignent même pas ! Rhôôô l'engin ! Il n'a qu'une toute petite touffe de poils sur le pubis, juste au-dessus de la base de sa bite … mais rien sur les côtés, rien sur la verge, rien sur les couilles … son ventre et ses cuisses sont également totalement imberbes.
- Hé hé hé ! Ah oui, j’ai vraiment l’impression qu'elle te plaît, ma bite … Impressionnante, hein ?
Je ne réponds pas. J'approche mon visage et je pose mes lèvres sur le dessus de sa verge … Surpris, il siffle doucement entre ses dents :
- Ah ben mon vieux … t’es un rapide, toi ! T’es pas le premier à la toucher, hein, mais t’es le premier à y aller aussi carrément … bon, alors vas-y, fais-toi plaisir …
Redressant toujours légèrement sa queue d’une main, je pose des baisers tout au long de sa verge … hhhmmm, elle est toute chaude sous mes lèvres … et tellement douce … je l’embrasse comme ça jusque sur le dessus de son gland … il dépasse un peu de son prépuce … je lui donne un petit coup de langue … oh la laaa, j’ai chaud partout … j’ai le cœur qui bat … et la tête qui tourne un peu.
Les jambes légèrement fléchies, il tend son ventre vers moi … spontanément, il a posé sa main sur ma tête. Je lève les yeux vers lui. La tête penchée vers l’avant, il soulève toujours le bas de son T-shirt, et il me regarde … il me regarde en souriant … mais d’un sourire beaucoup moins arrogant … je crois que je l’épate … et pas seulement pour m’être laissé aller aussi rapidement … c’est aussi ma façon de manifester mon attirance pour sa queue qui le déconcerte.
Je redresse sa bite à la verticale, j’approche mon visage et je pose maintenant mes lèvres sur son urètre … hhhhmmmm … elle est aussi tellement douce et chaude, comme ça … je frotte mes lèvres dessus … puis ma joue, mon nez, mon front … je la veux, sa queue … je la veux dans moi ! Tout en passant ce membre exceptionnel partout sur ma figure, je lève de nouveau les yeux sur lui … il ne s’attendait visiblement pas à ce que je réagisse de cette manière … Je continue et, pour bien lui montrer le plaisir que j’éprouve, je me mets à ronronner … il ricane encore.
J’alterne caresses sur mon visage et petits baisers tout le long de sa verge, depuis sa base et jusque sous son gland … là, je finis par un coup de langue … je lèche tout le tour de son gland … Je sens que tout ça lui fait de l’effet … sa queue réagit … elle frémit dans ma main … mais ça ne doit pas être seulement l’effet de mes caresses et de mes baisers … mon comportement docile, soumis, doit y faire aussi …
J’ai de plus en plus envie de cette queue ! Il faut que ce mec me baise ! Je ne sais pas encore si lui en a envie, et s’il n’est pas seulement en train de s’amuser ... je ne sais pas comment je vais arriver à mes fins, mais ce qui est sûr, c’est que je vais faire tout ce qu’il faut pour que ce mec me baise !
Il est encore calotté, et je décide de le laisser comme ça pour le moment … je le décalotterais plus tard, quand je commencerai à le sucer … je redescends ma langue tout le long de son urètre … jusqu'à ses couilles … elles paraissent un peu petites par rapport à son sexe … mais elles sont quand même plus grosses que la moyenne … je les lèche, je les embrasse aussi … il faut absolument que ce mec se vide les couilles au fond de mon ventre … il faut que ce mec me féconde !
- C'est bien … t'es un gentil garçon.
Ah merde ! C’est la première fois qu’on me dit ça ! ”Salope”, ”fille facile”, ”ma chérie”, oui … même ”pute” … mais ”gentil garçon”, c’est la première fois !
- T'as envie de m’sucer ?
- Oui.
- Et quoi d'autre ? Tu voudrais que j’t'encule ?
- Oui.
- Dis donc, tu serais pas une petite salope, toi ?
- Si, je suis une petite salope.
- Hé hé, j'en étais sûr … je l'ai vu tout de suite. T'aimes la bite, hein ?
- Oui.
- Bon, mais j'espère que tu te rends bien compte … c'est pas du petit calibre, ma queue … tu te crois capable de te la prendre dans le cul ?
- Oui.
- Ça risque de t’faire mal …
- Non, je crois pas.
- Ah ouais ? ! ? ! T'as l'air bien sûr de toi ! ! ! T'en as déjà pris d'aussi grosse dans ton cul ?
- Oui.
- Ah bon ? Remarque, ça m'étonne pas … t’as bien la gueule à ça ! Bon, alors, si t'es gentil, j’t'enculerai. Mais en attendant, suce-moi un peu.
Je reprends mes léchouilles et mes bisouillages en remontant vers son gland … Pendant notre échange, sa bite a un peu grossi dans ma main … il commence vraiment à bander … je sens que son gourdin cherche même à se redresser un peu de lui-même … mais, vu son poids, je me demande si il peut tenir tout seul à la verticale quand il bande vraiment … et même si il peut simplement se mettre à l'horizontale. Mais, de toute façon, je m'en fous, du moment qu'il soit assez raide pour me rentrer dedans, j'ai pas besoin qu'il pointe vers le plafond. Je me demande si c'est seulement ce que je lui fais qui le fait bander, ou si ça ne serait pas aussi le fait que ce soit un mec pour qui il bosse qui est en train de s'occuper de sa queue. Se faire sucer par son patron … ça doit être bien … comme se branler sur le cul de son patron, comme l’a fait Gégé l’autre jour !
Hhhhhhmmm, il va me baiser ! Il l’a dit ! Ce mec, avec sa bite d’étalon, va me baiser ! Je vais avoir son énorme zob dans mon cul … tout au fond de moi ! C'est encore ce sentiment de fierté qui m'envahit … je me sens … je me sens tellement honoré qu'un type aussi bien pourvu par la nature ait envie de … de me prendre … de me couvrir … de me saillir … Je ne peux pas vraiment dire qu’il bande pour mon cul … il ne l’a pas encore vu, mon cul … mais il a senti en moi la fille facile …
Voilà, je suis arrivé à son gland … une goutte translucide perle à l'entrée de son méat … c'est donc qu'il est déjà vraiment excité … délicatement, je glisse la peau de sa verge vers le bas et son gland se décalotte peu à peu … je le mouille de salive au fur et à mesure … et brusquement, la bordure de son prépuce passe sous le bourrelet de son gland … qui s'épanouit d'un seul coup comme une fleur qui s'ouvre.
Oh, le morceau !
Et qu'est-ce qu'il est beau ! Parfaitement proportionné au diamètre de sa verge, légèrement retroussé, il a une forme … une forme profilée pour la pénétration, juste comme je les aime … je le lèche sur tout son pourtour … et je finis par le prendre dans ma bouche … putain, je suis obligé de bâiller à fond ! Hhhhhmmmm, il est brûlant ! Il est gonflé de sang et je le sens palpiter sur ma langue … Oh la laaa, ça me rend dingue ! Je suis en train de sucer un gland énooooooorme ! Je suis en train de sucer la bite d'un type que j'ai rencontré pour la première fois il n'y a qu'un tout petit peu plus d'une heure ! Et me voilà encore en train de faire ma salope avec un parfait inconnu. J'aime tellement ça ! Finalement, c'est sûr, je ne pourrais pas me mettre en ménage avec un mec et lui rester fidèle … ou alors, peut-être avec toute une équipe de mecs, un harem … mais il faudrait qu'ils soient au moins … je sais pas, une dizaine … mais non, même comme ça, offrir ses mains, sa bouche et son cul à des inconnus, c'est tellement … exaltant ! De ma main libre, je déboutonne mon pantalon, je la glisse à l'intérieur, et je sors ma queue. Je bande, et je commence à me tripoter.
A l'intérieur de ma bouche, je joue tant bien que mal à lui titiller le gland avec ma langue … mais il est tellement gros qu'il ne me laisse pas beaucoup de place pour manœuvrer … et en plus, comme je lui fais de l'effet, il est de plus en plus raide !
- Je vois que tu sais y faire, hein, ma salope … tu dois avoir de l'expérience …
Tout en le suçant, je lui tripote les couilles et il cherche à écarter un peu plus les jambes pour que je puisse glisser ma main entre ses cuisses … comme ça s'avère difficile, il entreprend d'ôter ses claquettes, et, en se penchant légèrement, il finit de faire glisser son pantalon jusque sur ses chevilles … puis, d'un mouvement brusque des pieds, il s'en débarrasse … le voilà le cul à l'air … C'est seulement à ce moment que je me dis qu'en dessous de nous, au rez-de-chaussée, il y a Gégé et l'employé de Paulin qui bossent … et je me dis aussi que si l'idée venait à l'un ou à l'autre de monter voir ce qu'on fabrique, il nous trouverait dans une position sans ambiguïté … Est-ce que ça me gênerait ? Pas du tout ! Gégé sait déjà à quoi s'en tenir sur mon compte .. et vu la réaction de l'employé de Paulin, tout à l’heure dans la cuisine, je le soupçonne d'en savoir pas mal sur les mœurs de son patron. Alors, je crois que ça me plairait plutôt, en fin de compte, que l’un ou l’autre me ”surprenne” en train de sucer ce mec.
- Attends un peu … je vais m'appuyer au mur.
Paulin commence à reculer lentement … il continue de me tenir par la nuque pour m'entraîner avec lui sans que je sorte sa queue de ma bouche. Voilà, il s'adosse au mur et écarte un peu les jambes … comme ça, je peux glisser ma main entre ses cuisses et prendre ses couilles dans ma paume.
Au bruit de sa respiration, à la pression de ses doigts sur ma nuque, je sens qu'il commence à prendre beaucoup de plaisir … je vais le faire jouir … je vais le sucer jusqu'à ce qu'il crache sa crème dans ma bouche ! Il me presse toujours la nuque, mais en plus, il me caresse la tête de son autre main …
Et brusquement, je sens une présence, sur ma droite … la grosse queue de Paulin toujours dans ma bouche, je regarde du coin de l’œil … l'employé de Paulin vient de surgir dans la salle d'eau ! Je ne l'ai pas entendu arriver … il n'a pas fait le moindre bruit dans l'escalier ou sur le palier … Et il est là, dans l'encadrement de la porte … il nous regarde. Je le regarde aussi tout en continuant de sucer son patron. Il n'a pas vraiment l'air étonné … plutôt … écæuré … il secoue la tête de droite à gauche. Et comme je l'avais imaginé il y a un moment, moi, ça ne me gêne pas le moins du monde que ce mec me regarde sucer la bite de son patron. Au contraire, ça me plaît … déjà, ça me plaît de lui montrer que je suis une suceuse de bite, mais en plus, j'éprouve une certaine fierté de pouvoir sucer un braquemart aussi énorme. Paulin a aussi senti la présence de son ouvrier. Il tourne la tête vers lui, et:
- Qu'est-ce tu fous là, toi ?
- Putain, j'm'en doutais … t'arrête jamais, hein …
- Qu'est-ce ça peut te foutre … ça te regarde pas … t'as fini, en bas ?
- Nan.
- Ben vas-y, alors … j'te paie pas pour me regarder …
L'autre hausse les épaules, secoue la tête avec l'air d'être dégoûté, et il fait demi-tour. Paulin:
- J'suis désolé, hein … je l'ai pas entendu monter.
Je sors sa queue de ma bouche:
- Moi non plus, je l'ai pas entendu.
- Ça t’embête, qu'il t'aie vu ?
- Pas du tout.
Il me sourit:
- Ouais … t'as même pas arrêté, quand t'as vu qu'il était là … ça te plaît, hein …
- Oui, ça me paît.
- C'est bien ce que je dis … t'es une bonne petite salope.
Je reprends sa queue dans ma bouche. Maintenant que l'ouvrier nous a surpris, je tends un peu l'oreille … pas pour guetter une nouvelle arrivée impromptue … non, pour essayer de savoir ce qui se passe en bas, maintenant. Un brouhaha assourdi de conversation me parvient du rez-de-chaussée. Je ne saisis pas ce qui se dit, mais je reconnais les intonations de Gégé. A mon avis, l'ouvrier de Paulin est en train de lui raconter ce qu'il a vu. J'entends un rire … encore Gégé, il me semble … et soudain, l'escalier craque … quelqu'un est en train de monter … je parie que c'est Gégé qui vient voir à son tour. Du coin de l'œil, je guette l'embrasure de la porte … et …
BINGO !
Gégé passe la tête … il écarquille les yeux ... il n'en revient pas … je ne sais pas ce qui le sidère le plus … me voir tailler une pipe à Paulin, ou voir sa bite, à Paulin, son énorme bite … Il reste là, les bras ballants, regardant alternativement Paulin et moi. De la main, je lui fais signe d'entrer. Il hésite, mais il finit par s'avancer en souriant:
- Ça va, patron ?
- …
” Ça va, patron ? ” Ah, il se régale, le Gégé, de voir son ”patron” tailler une pipe à ce mec ! Je lève le pouce "oui, ça va, Gégé". Paulin, le dos calé contre le mur, le ventre en avant, les jambes écartées, le regarde en souriant. Gégé:
- Putain, l'engin ! Ça, c'est du casse-dalle !
Paulin:
- T'en avais déjà vu une comme ça ?
- Nan … mais de toute façon, j'en ai jamais vu d'autre, des bites … même des petites … à part la mienne …
- Et toi, il t'a aussi sucé, ton patron ?
- Ben nan …
Il me regarde avec un drôle d’air, Gégé, puis il semble se décider brusquement :
- Il m’a pas sucé, mais … l'autre jour, il voulait que je le baise …
- Ah ouais ? Et alors ?
- Ben … moi, j'ai pas voulu … je fais pas ça … j'encule pas … surtout un mec.
- T'as tort… tu sais pas ce que tu perds … c'est vachement bon, tu sais … surtout quand t'as une grosse bite comme moi …
- Ah bon ? Pourquoi ?
- Ben, quand t'as une grosse bite, si tu baises une femme … dans la chatte, je veux dire … tu peux pas y aller à fond … enfin, moi, je peux jamais leur rentrer ma bite complètement dans la chatte … je touche le fond avant, si tu veux … et ça leur fait mal, paraît-il … mais dans un cul, ben y'a pas de fond, si tu t’y prends bien … et pis, en général, un trou du cul, c'est plus serré qu'une chatte, alors ça te fait plus d’effet … tu devrais essayer, puisque ton patron te l'a proposé …
- Nan, mais moi, j’te dis, j’fais pas ça, j’encule pas …
Je n’ai pas arrêté de pomper Paulin, pendant qu’ils discutaient … ça me plaît bien, cette situation … sucer un mec qui travaille pour moi devant un autre mec qui travaille pour moi ! Il y a un court silence, pendant lequel Gégé se contente de regarder, puis :
- Mais toi … tu vas l’enculer, après ?
- Ben ouais … il en est question.
- Oh, putain ! Tu vas y éclater le fion, avec un engin comme ça !
- Il dit que non … il dit qu’il en a déjà pris des aussi grosses dans le cul …
- Ah bon ? C’est vrai, patron ?
Je sors la queue de Paulin de ma bouche … il était temps, je commençais à avoir des crampes dans la mâchoire et à manquer de souffle. Alors, tout en masturbant lentement la grosse queue de Paulin:
- Ben ouais, c’est vrai …
- Ah merde !
- On en a parlé, l’autre jour, Gégé, quand on était à Plouménez …
- Ouais, mais tu m’as pas dit que tu t’étais déjà pris des queues comme ça dans le cul …
- Ah, peut-être …
Il y a un silence et je le sens soudainement gêné, le Gégé. Ça ne lui plaît pas trop qu’on parle de notre virée à Plouménez. Il doit avoir peur que je parle de sa branlette et de son éjaculation sur mes fesses. C’est Paulin qui intervient :
- En tout cas, il suce plutôt bien, ton patron, Gégé … Bon, c’est pas tout ça, les mecs, mais faudrait quand même qu’on avance … pour le cul, on verra plus tard … Allez, toi, laisse-moi …
Il m’a tapoté sur l’épaule, et il repousse ma main qui tient son sexe. Dommage … moi je m’en fous qu’on avance le montage des meubles, je suis pas pressé … il peut rester là plusieurs jours, le Paulin … mais il a l’air d’y tenir, à avancer. Je le lâche et je me redresse. Pendant que je remballe ma queue et que je referme ma braguette, Paulin récupère sa culotte de zouave et la remet. Nous retournons dans la chambre et Gégé redescend au rez-de-chaussée. Paulin, en me touchant le coude :
- On tâche de finir le montage des meubles de l’étage, et si on a assez avancé en fin de journée, je te baise … ça te va ?
- Ouais, ça me va …
Hhhhmmmm … je dois dire que, maintenant que j’ai l’assurance qu’il va me baiser, devoir attendre jusqu’à ce soir, non seulement ça n’est pas gênant, mais ça me plairait plutôt, en fait … l’attente … l’attente d’une jouissance à venir, c’est déjà du plaisir.
Paulin s’est remis au travail. Cette fois, je peux le reluquer sans vergogne. Et lui, par jeu, ne se prive pas de m’exhiber ostensiblement sa queue à travers la toile de sa culotte chaque fois qu’il s’accroupit pour assembler des éléments de meuble. Moi, à deux ou trois reprises, quand je me retrouve à portée de son bas ventre, je tends la main et je lui effleure la queue … il se laisse faire pendant deux ou trois secondes avant de s’écarter et de continuer à bosser … Un moment donné, alors que je passe devant lui, il me chope par les hanches et il se colle le ventre contre mon cul … puis, me tenant avec son bras gauche passé sur mon ventre, il me serre contre lui, et, de sa main droite, il presse sa queue contre l’arrière de ma cuisse … le menton sur mon épaule, la bouche près de mon oreille, il me souffle :
- Dis, tu la sens, ma grosse queue ? Ce soir, tu vas y avoir droit …
Et avant que j’aie pu réagir, il me repousse et se remet au travail en rigolant. Je n’arrête pas d’y penser, au coup de bite qui m’attend ce soir … je m’efforce d’imaginer ce que ça me fera d’avoir ce gros truc dans moi … alors je suis en permanence en semi érection. J’ai hâte d’y être, et pour que le travail avance, je me démène autant que je peux.
Au bout d’un moment, Paulin me demande :
- Dis, y’a de quoi manger, dans ton bled ? Genre kebab, ou grec, ou burger …
- Ah ouais, c’est vrai. Vous n’avez rien amené ?
- Nan.
- Ben … pas de kebad ou de grec … pas de burger non plus … mais y’a un supermarché … ah oui, et un marchand de pizzas …
- Ben une pizza, moi, ça me va … Kevin aussi, il aime ça …
- Bon. Je vais aller les commander. Je pense que Gégé aussi, ça lui ira.
- Commande par téléphone …
- Euh, ouais, mais il faut aussi que j’aille chercher des assiettes, des couverts … et à boire … y’a rien, ici.
- Hé, tu sais, on a aussi amené la vaisselle, les couverts et la batterie de cuisine que t’as commandés … mais tout ça, comme on avait prévu de le sortir seulement quand les meubles seraient prêts, c’est tout au fond du fourgon … j’vais demander à Kevin d’essayer de sortir tout ça …
- Ah ben OK.
- Remarque, on a aussi les draps et les couettes, hein …
- Oui ? Mais … on va pas en avoir besoin pour manger …
- Pas pour manger … pour ce soir …
- Comment ça, pour ce soir …
- Ben ouais, pour ce soir … on a pas parlé de coucher, tout à l’heure ?
- Ah, tu veux dire ”de baiser” …
- Ouais, ”de baiser”, si tu veux …
- Parce que t’as l’intention de me baiser dans un lit ?
- Je sais pas … pourquoi pas dans un lit …
- Ben … pourquoi pas plutôt à quatre pattes par terre … ou pourquoi pas sur le canapé … vous avez amené le canapé que j’ai commandé ?
- Ouais.
- Mais … pourquoi pas sur la table, aussi …
- Ah, OK, je vois …
- Bon … en tout cas, je vais commander et chercher des pizzas et acheter un peu à boire …
- OK, vas-y.
Quand j’arrive au rez-de-chaussée, Gégé me regarde, hilare. L’autre, le Kevin – puisqu’il s’appelle Kevin –, fait la gueule. Ça a l’air de le contrarier que son boss soit aussi ”sexe” avec moi … et même avec les clients en général … on dirait que c’est habituel. Je leur demande si des pizzas ça leur va. Ils sont d’accord. Je demande aussi à Kevin si il peut essayer de trouver la vaisselle et les couverts dans le fourgon. De lui-même, il m’annonce que, tant qu’il y sera, il va aussi essayer de sortir et de monter quatre chaises … et la table de la salle à manger.
Je vais donc commander des pizzas et, en attendant qu’elles soient prêtes, je passe au supermarché acheter à boire. Comme le pizzaiolo m’a annoncé une quarantaine de minutes d’attente, je décide de faire un saut au gite. J’ai envie de commencer à ramener des affaires chez moi … du moins mes affaires un peu ” hot ”, histoire de motiver Paulin. Une fois au gite, je passe d’abord par le bureau de la gérante et je lui annonce que je vais bientôt emménager chez moi et laisser la chambre qu’elle me loue … il faut qu’elle me prépare ma note. Puis je fourre dans mon sac de voyage ma lingerie, mes vêtements de travelo, mon jean moulant, mon nécessaire de toilette, le lubrifiant … bref, de quoi s’amuser un peu … dès que je serai chez moi, je me mets en tenue plus … plus ”hot” … en trav ou seulement en jean moulant ? On verra.
Je repasse à la pizzeria avant de retourner chez moi. Quand j’arrive, Gégé et Kevin sont en train d’assembler la table de la salle à manger, et je remarque quatre chaises encore emballées dans leur housse plastique, rangées contre un mur. Je dépose les pizzas et les boissons dans la cuisine. Dans un coin, au sol, une caisse avec des assiettes emballées dans une sorte de papier kraft de protection … Kevin passe la tête par la porte et me lance :
- Ouais, ça, c’est les assiettes … et dans les autres caisses, là, y’a des verres et des couteaux et des fourchettes …
- Ah OK, merci.
- On a laissé le reste de la vaisselle et les casseroles dans le fourgon … on va pas en avoir besoin à midi.
- Vous avez bien fait.
A l’étage, Paulin est en train de monter la structure du lit. Il sourit en me voyant. Je pose mon sac d’habits sur la commode, je l’ouvre, je prends mon jean – intrigué, Paulin me regarde faire – et je passe dans la salle d’eau. Vite fait, j’ôte mon pantalon, mon caleçon, et j’enfile mon jean … sans rien dessous, évidemment … hhhhmmmm, rien que de le mettre, ça m’excite … voilà … la couture bien rentrée au fond de ma raie, bien plaquée contre ma rondelle, ma bite et mes couilles bien rangées là, à gauche … hhhhmmmm, je me sens tellement bien, moulé comme ça … Je retourne dans la chambre. Paulin éclate de rire :
- Ah, d’accooooord ! Je m’demandais c’que t’allais foutre dans la salle d’eau … Viens un peu là !
Je m’approche. Il me prend par le coude et me fait pivoter :
- Tourne, que j’voie ton cul …
Je tourne.
- Ah ouais ! C’est pas un jean de gonzesse, ça ?
- Si.
Il me prend les fesses dans ses mains :
- Ben dis donc ... ça t’fais une d’ces culs ! Hé hé hé … ça serait dommage que des miches comme ça puissent pas servir de garage à bite … tu m’fais bander, p’tite salope …
Je passe ma main derrière moi et je cherche sa queue à tâtons … elle est toujours dans sa jambière, mais comme ça, je n’ai pas l’impression qu’il bande …
- Il t’a déjà vu dans cette tenue, ton ouvrier ?
- Gégé ?
- Ouais, Gégé.
- Oui, il m’a déjà vu.
- Et alors ?
- Ça lui a fait le même effet qu’à toi …
- Et ?
- Et il m’a aussi tripoté …
- Ah ouais …
- Ouais … il a fait mes manières … il a essayé de résister, mais il a fini par le faire.
- Et c’est là que tu lui as demandé de t’baiser …
- Oui.
- Et il a pas voulu …
- Non, il a pas voulu …
- Il est vraiment con, alors. Bon … allez, au boulot … on verra ça plus tard.
Pendant cet échange, il n’a pas arrêté de me peloter, de me palper, de me caresser, de me pétrir les miches … il a même un peu glissé ses doigts dans ma raie, le long de la couture du jean … mais là, il vient de me claquer une fesse, il s’est écarté et il s’est aussitôt remis à visser le pied du lit sur un des côtés.
Putain, j’ai hâte d’être à ce soir … mais avant ça, j’ai aussi hâte de me pointer dans cette tenue devant les deux, en bas, Gégé et Kevin, pour voir leur réaction. Mais … je peux quand même pas débarquer comme ça, pour rien … il faudrait que j’aie un prétexte … c’est quand même bizarre que je me mette à avoir ce genre de scrupules … Je suis là, à glander dans l’embrasure de la porte, quand Paulin me fournit le prétexte d’aller exhiber mon cul aux deux mecs :
- Tu veux pas aller demander aux deux, en bas, de monter le sommier et le matelas ?
- Ouais , OK.
Je me précipite dans l’escalier. Quand j’arrive au rez-de-chaussée, Gégé et Kevin sont occupés et ils ne font pas attention à moi … le premier est en train de déballer les chaises et l’autre finit d’installer un tiroir dans le meuble de télé.
- Dites, les gars, Paulin voudrait que vous lui montiez le sommier et le matelas de la grande chambre …
Ils tournent tous les deux la tête vers moi. Gégé lâche la housse plastique de la chaise qu’il vient de déballer et me contemple de la tête aux pieds … ou plutôt de la taille aux genoux, et il écarquille les yeux. L’autre me regarde et secoue la tête avec un air blasé. Gégé:
- Tu … tu t’es changé ? C’est … le jean que t’avais l’autre jour à Plou…
- Ouais.
Je ne résiste pas à l’envie de lui exhiber mon cul … je lève un peu les bras et je pivote d’un demi tour sur moi-même :
- Tu peux encore me toucher le cul comme l’autre jour, si ça te dit …
Et je lui fais de nouveau face. Il fait la gueule … visiblement, c’est cette allusion à ce qui s’est passé à Plouménez devant Kevin qui le chagrine. Il hausse les épaules. En me dirigeant vers la porte d’entrée, je lance :
- Bon … on va les chercher, ce sommier et ce matelas ? Ils sont dans quel fourgon ?
- Attends ! On va y aller, avec Kevin ..
Gégé semble soudain paniquer … ah ouaiiiiiiis, j’y suis … il a peur que je sorte et que des voisins me voient dans cette tenue … et en sa compagnie, qui plus est. Alors j’en rajoute :
- Vous pourrez pas porter les deux … j’y vais avec vous …
- Naaan ! On fera deux voyages … reste là !
Putain, il m’a dit ça sur un ton ! Je n’insiste pas … inutile de le faire chier, il serait capable de me laisser tomber … et j’ai besoin de lui pour défricher et nettoyer Coat-an-Bleiz. Il sort en faisant signe à l’autre de le suivre. Je les entends discuter … si je ne comprends pas ce qu’ils disent, j’ai l’impression qu’ils commentent l’incident …
Quand ils reviennent en portant le sommier, je les précède dans l’escalier, et je monte en tortillant du cul ,sous le nez de Gégé. Il réagit:
- Pfffffff ! Arrête, hein …
Paulin a fini de monter le lit. Gégé et Kevin débarrassent le sommier de sa housse plastique et l’installent sur la structure du lit … et ils redescendent chercher le matelas.
Dès qu’ils sont dans l’escalier, Paulin m’attrape par le bras et me pousse vers le lit :
- Allonge-toi … sur le ventre …
J’obtempère et je m’étends au milieu du sommier, bras et jambes écartés. Paulin s’assied au bord du lit, contre moi, et se met à me peloter les fesses … hhhmmmm … ses mains qui me caressent à travers la toile de ce jean … c’est tellement bon ! Il m’explore le cul et les cuisses avec ses gosses pognes … j’adore et je ronronne … il se marre.
Rapidement, j’entends les deux autres qui reviennent et qui montent l’escalier … Paulin :
- Tiens les revoilà …
Mais il n’arrête pas pour autant de me pétrir les miches … alors je tourne la tête vers la porte de la chambre pour voir leurs têtes quand ils vont voir Paulin en train de me peloter le cul … C’est Gégé qui entre le premier et qui nous découvre … il stoppe net à l’entrée de la chambre … les yeux ronds, la bouche bée, il est estomaqué :
- Ah ben … vous gênez pas, hein …
Paulin :
- Et pourquoi on se gênerait ? T’as quelque chose à dire ?
L’autre, le Kevin, a passé la tête dans l’embrasure de la porte pour voir ce qui se passe. Comme on pouvait s’y attendre, il n’est pas vraiment surpris, et il fait toujours la tronche du mec qui en a marre des frasques sexuelles de son patron. Gégé :
- Bon, ben, le v’là, votre matelas … si vous vous poussez, on va pouvoir le mettre sur le lit … comme ça, vous pourrez baiser …
Putain, il serait jaloux que ça m’étonnerait pas ! Paulin se contente de rire :
- Ah ah ! T’as raison, mec … posez le matelas, et après, on baise ! Allez, lève-toi, toi !
Il me claque une fesse. Je descends du sommier et c’est Paulin qui ôte la housse du matelas et qui le pose sur le lit. Kevin est déjà dans l’escalier et Gégé le suit en bougonnant. Je demande à Paulin :
- C’est vrai ? Tu veux qu’on baise maintenant ?
- Nan. C’était seulement pour faire chier Gégé … il serait pas jaloux, par hasard ?
- Ben … j’en ai eu aussi l’impression … j’en reviens pas.
- Tu verras, il finira par te sauter …
Il se remet au travail.
Il se remet au travail et il semble encore plus rapide et efficace qu’au début de la matinée … et pourtant, tout à l’heure, on aurait dit qu’il était déjà au taquet ! J’ai l’impression qu’il est pressé d’en avoir fini avec les meubles … ou du moins qu’il veut avoir bien avancé quand arrivera le soir. Hhhmmmm, ça veut dire qu’il a hâte de me fourrer ! Je sens que je vais m’en prendre un bon coup dans le cul !
à suivre.